RÔDEUR

Je vais à présent vous présenter un roman qui est tiré entièrement de mon imagination. Je lève juste une paranthèse pour vous dire que, précédament, j'ai donner mes livres à un éditeur je ne suis sur de rien, mais je vous tiendrais au courant ^^.

RÔDEUR

Livre premier : Pour que bascule l'empire !

Trop cool tu est vachement bonne écrivain on peut avoir la suite ?

Médon ce reveilla, attiré par l'odeur alechante du déjeuner servit. Il se leva, enfila quelques habits et couru dans la première salle. Sa mère, en effet, lui mijotait un repas hors-pert, et dont elle était la seule à détenir le secret. Le jeune rôdeur frétilla de plésir. Ses habitudes matinales n'étaient jamais bafouées, et sa vie était semblable à celle que beaucoup de théologistes prévoyaient, la vie qui les attendaient tous. Pour beaucoup, vivre materielement était l'interlude. Seul l'immortalité comtait... Malgré que Médon n'y praitait pas une attention sans limites, il vouait un culte au Dieu des rôdeur, Mygerass. Aujourd'hui, il devait partir à la chasse accompagné par son père. Il adressa un sourir proche du rictus à sa mère, et enfila sa cape de soie. Son père l'attendait en dessous de la cabane qui leur servait de refuge.
"- Tu es la, mon fils. Prend ta lance et ton arc. Nous partons maintenant.
- Bien, père."
Il s'executa. Quand tout fut prait, il partirent vers la forêt en fredonnant les aires de la victoire. L'air était doux et un leger vent humide enveleppait l'athmosphère. Quand, au loin, le père de Médon apperçu un lièvre, il s'arrêta, et banda son arc. Il ferma un oeuil pour favoriser la précision, et, tu bout de ses doigt, lacha lourdement la fine flèche. Celle si fonça droit sur le mamiphère, sans que celui-si ne puisse se retourner ni courir.
"-Vous êtes doué, père
- Tu es bon, fils. Mais ton grand-père était un expert. Tu doit prendre exemple sur lui."
Il s'approcha du gibier, et mis la main au sol pour l'attrapper. Mais un pieds plus rapide lui la broya. Le rôdeur poussa un hurlement de douleur et leva les yeux au ciel. Une orde de chasseur portant l'embleme du roi le fixairent. L'un voilait son visage d'une expression de surprise, et l'autre d'un sourire satisfait. Le reste de la bande se contentaient de le regarder dans le blanc des yeux. Le plus robuste, surement le chef, eleva la voix.
"-Tiens, tiens... Un rôdeur... Un de ses chiens de la foret...
-Que nous voulez vous ? Nous sommes ici pour trouver de quoi manger, pas pour chercher des ennuis..."
Le chef ricana. Quand il se tut, il fit signe à l'un de ses compagons. Celui si dégena son épée et égorga le père de Médon. Celui si hurla :
"- PERE ! PERE ! que lui avez vous fait, monstres ?"
Il banda son arc et visa l'un des chasseur. Il tira, et aussitôt, celui-si tomba raide mort au sol. Le chef leur fit signe de le tuer. Appeuré, le jeune rôdeur s'échappa. Il tourna dans une allé, et plonga dans un buisson. Il pu entendre :
"-C'est bon, ce n'est qu'un gosse. Mais brûlons tout de même son village..."

je suis contant que sa te plaise ! Merci pour tes compliments !

Heureusement que tu es là, Gamoreïn ! A toi seul, tu fais vivre la partie Fan'Fics...

Il partirent. Médon les suivient, après avoir pris toutes les précotions necessaires. Les "brigants" pénétrèrent sans trop de difficulté les barrière de bois. Le chef alluma une morceau de bois, et en distribua à ses compagons.
"- Allez, mes amis ! Tuez ! Piez ! Egorgez ! Faites vous plaisir !"
Une par une, il brulèrent les cabanes. Le sang jiclait. Les toiles était souillées par les éclats de cher. Les enfants hurlaient. L'athmosphère était effrayant. Médon retenait ses larmes avec difficulté, et l'horreur de ce spectacle le remplissait de terreur. Quand le malheur fut passé, le jeune rôdeur s'extirpa de sa cachette, et couru à travers les cadavres de ses frères. Quand il eu atteint sa demeure, il s'y engoufra. Une terrible expression d'horreur s'afficha à son visage : Sa mère était brulée gravement à plusieurs endroits. Elle avait le joues en sang, et tenait très fort dans sa main un petit médaillon qu'elle avait l'habitude de porter à son coup. Elle esquisa un leger sourir quand elle vu son fils saint et sauf.
"- Non... mère... Je vous en pris...
- Ne t'inquiète pas... pour... moi... Tiens, garde-le..."
Elle lui tendit son médaillon. Médon esita, puis s'en cesit. Il avait les larmes aux yeux.
"- Vous n'allez pas mourire, mère, n'est-ce pas ?
Elle fit un sourir rassurant.
-Mais non, mais non... ne... te... Traqua..."
Ses yeux ce fermèrent. Sa tête roula de côté. Le jeune rôdeur mis la main à son pouls, et poussa un cri melé à ses pleurs : Sa mère venait de mourire.
"-CREVEZ ! ALLEZ EN ENFER ! J'AURAIS VOTRE PEAU, CHIENS DU ROI ! J'AURAIS VOTRE PEAU !!!"

Oh !! Je viens de lire que tu avais envoyé tes livres à un éditeur J'espere que tu vas être édité !

Oui moi aussi Je croise les doigts...

Oui, nous te soutenons tous !!

Feanor le Grand: Pour usage immodéré de smileys...

Nimlofin:

merci beaucoup tous le monde, mais je ne fonde pas tous mes espoir sur cette edition... Mais je suis déja contant que l'éditeur l'ai accpeter, c'est pas facile, en général ! Sa, c'est une étape

Bonne chance pour ton éditeur ^^

Oui pareil

merci encore