Les chroniques de Yulhrac le Haradrim.

Cela fait bien longtemps que je voulais vous faire part de cette petite aventure de ma composition, et qui conserne le Sud des terres du Milieu, c'est à dire l'Harad. Voici le titre :

Les chroniques de Yulhrac le Haradrim.

En Terre du Milieu, il existait plusieurs catégories d'humain : Les hommes libres du Gondor, du Rohan ou autre contrées, et les Haradrims, du Harad, appelés aussi hommes sauvages. Ils se divisaient en plusieurs branches : Celle à laquelle nous allons nous interesser se nome "les corsaires". Ce sont des pillards de l'Ouest du Harad, plus sanginaires et plus impitoyables que n'importe quel autre humain. Eux même sont si nombreux qu'il doivent se diviser en plusieurs clans, et, une fois de plus, nous allons tout particulièrement nous interessez aux "manges-pieds" redoutés pour leur canibalisme... Ils vivaient simplement et avec des moyens primitifs, comme des bêtes de l'ombre dans les montagnes. L'aventure que je vais vous comter se situe dans le troisième âge, à l'époque ou les hommes sauvages furent corrompus par le mage Saroumane. L'argent était un moyen très efficasse d'acheter les Haradrims, car ceux si en manquait. C'est pourquoi il n'avait pas eu de mal à les acheter. Mais un seul, je dit bien un seul, ne mangait pas de se pain la : Youlhrac, le jeune fils du grand chef Beletyor. Ce jeune et courageux Haradrims posaidait un bon nombre de qualités, dont celle de ne faire confiance qu'a sois-même. Et c'est cette qualité qui, plus d'une fois l'eu sauvé... Il était particulièrement laid, mais dans le Harad, ce fut plus une qualité qu'un défaut. Ses muscles étaient fort développés, et son nez plat flairait l'ennemi encore mieux qu'un Warg. Ses yeux était d'un rouge flamboyant, comme le sang frais après avoir jiclé sur le metal. Bref, Youlhrac était un pur homme du Sud.

Les Haradrims levèrent le camp pour un long et difficile voyage jusqu'a l'Isangard, ou le mage Saroumane leur verserait leur prime pour s'être rangé du coté de Sauron.

Youlhrac : Père, vous êtes un chien. Je n'irais pas lecher les semelles de se magicien de pacotille...

Son père leva la main au ciel. Mais le jeune prince ne fit rien. Alors, le poing lui frappa de plein fouet le visage, mais, aucune expression de couvrait Youlhrac.

Le père : TU M'A INSULTé !!! MOI !!! TON PèRE !!! QUE MORGOTH DE PUNISSE DE CETTE OFFANCE !!!

Youlhrac : Je me répète, père, vous êtes un rat. Un chien. Un...

Il ne put poursuivre ses insultes, que déja il fut re-frappé. Cette fois, un léger et fin filet de sang s'échappa du bout de sa lèvre. Mais un sourire voila sa figure, comme par provocation.

Youlhrac : Je n'irais pas avec vous, père. Et vous non plus.

Il se leva, s'approcha de lui, et lui planta une lame a double tranchant dans le ventre, ce qui produit une petite jiclée de sang sur la main a présent sale du jeune prince. Il ne paraissait aucunement choqué par son acte, et sans remord retira la lame des boyaux de son ancetre. Il se retourna après lui avoire craché au visage, puis quitta la tente. Il perçut le bruit mat du corps tomber au sol. Une expression de s'atisfaction s'afficha à son visage blafard. Il prépara ses affaires, et quitta son village, avant que les gardes ne découvrent le corps de son père. Il partirait vers le Nord, la ou il avait toujours rêvé d'aller.

Youlhrac marchait à travers le pays depuis déja plusieurs heures, et seul un horizon incertin s'offrai à ses yeux. Il était, bien que robuste, sensible, et cette séparation avec son pays et ses coutûmes tant adorée lui arachait le coeur. Mais, on fond de lui même, il ne pouvait s'enpêcher de trouver l'acte envers son père assez exagéré. Après avoir songé à tout cela, le soleil commençait à ce coucher. Le jeune Haradrim se atta d'atteindre la dune de sable la plus proche. Par chance, elle était équipée d'un oasis et de quelques touffes d'herbes fraiches. Il s'allonga, se recouvra de son manteau et s'endormi sans mal, car sa journée avait été bien fatigante. Le lendemain, il essayerait de trouver un village ou il pourait se ravitailler et se procurer un cheval. Son sommeil fut annimé de rêves étrange qui le rongait de remord. Il avait peur, peur de la vie et peur de se qui alait lui arriver maintenant. Il devait quitter le Harad au plus vite, car bientôt tous seront au courant de son meurtre. Alors, dès qu'il perçut le premier rayon de soleil, il se leva, plia ses humble afaires, et se mit en route vers le Nord. Il sorti de son sac une vieille carte abimée qui représentait les alentours de son village. Il n'était à présent plus très loin de Hajaz-Tolin, placé au bord de la frontière du Mardruak. Sa prochaine destination serait l'Arondor, ou se nichait les rôdeur qui pactisaient avec les hommes sauvages. Youlhrac ne les aimait point, mais ils devaient les supporter, car son père avait souvent à faire à eux. Mais à présent, tout cela était révolu. Seul lui, et leui seul pourait decider de ses actes. Il marcha toute la journée. Des gouttes de sueurs perlaient à son frond, causé par l'insoutenable chaleur du désert. Par ici, il devait être prudent car les voleurs rôdaient en masse pour s'approprié les richesses des voyageurs. Il sortit donc une petite dague offerte par son père lors de ses 4 ans.

Youlharc était sur ses gardes, craignant une attaque soudaine. Mais il n'avait pas peur. Sa seule vériatable engoisse était la torture, car plus d'une fois il en avait été la victime. Les prince du Harad était les complices de leur père, et il savait des choses qui pouvait s'averer destructrices. Si un prince trahissait son pays sous la torture, il était bannit. Si il revenait, il était tué. Mais youlhrac n'avait jamais été veritablement brutalisé. Soudain, il perçut un bruit de pas dans son dos. Il se retourna : Rien seul des traces d'humain. Il sèra plus fort dans sa main la poigne de sa dague. Alors, il vit une ombre qui se jeta sur lui avec une rapidité incontestable, puis il fut assomé d'un coup de poing. Quand il se réveilla, il était allongé au sol, dépouillé et presque nu. Il se leva d'un bon, et couru vers le Nord, esperant tomber sur Hajaz-Tolin. C'est alors que, peut de temps plus tard, il en aperçut les vaste tourelles de pierre. Un garde lui fit signe de s'arreter.

Le garde : Que vient tu faire ici ?

Youlhrac : J'ai été volé non loin d'ici par des rôdeur des sables, et je viens trouver refuge parmi vous en esperant trouver un cehval et de la nouriture en quantité pour mon voyage.

Le garde : Tu es jeune pour l'aventure. Mais tu es bien tombé : Les habitants de se village sont généreux.

Le jeune prince le remercia, et s'engouffra dans la cité. Elle était magnifique, bordée de beau décors. Youlharc, durant ses 14 années, n'avait jamais vu rien d'aussi spectaculaire : Dans tout les sens, on chantait, on hurlait, on dancait. Etait-ce véritablement le Harad ? Tout était si civilisé... Personne ne se battait, comme à son habitude dans son village. Mias il ne devait pas trainer. A l'a première auberge, il se dépecha de la rejoindre.

L'aubergiste : Alors, mon p'tit gar, qu'est c'tu m'veux ? Une chamb' ? D'la bouf ?

Youhrac : Ho, simplement de la nourriture pour un long voyage, et un bon cheval.

L'aubergiste : Pas d'prob, p'tit. S'te f'ra 47 pièces d'or. Raboule l'fric.

Youlhrac : A vrai dire, je me suis fait volé et...

L'aubergiste : Pas d'fric, pas d'ch'val. Allez, dégage...

L'homme se retourna pour se remettre à ses activitées. Youlhrac paraissait amusé et terriblement choqué à la fois. Jamais personne ne lui avait parlé comme sa à lui, fils prince des mange-pieds. Il sortit sa dague, se fofila derrière le bar de l'aubergiste, et lui mit sa lame sous la gorge.

Youlhrac : A vrai dire, j'ai eu folle envie de vous trancher la gorge, mais j'ai besoin d'un chevale et de nourriture. Etant donné votre réaction, je vais vous egorger quoi qu'il en soit, mais si vous ne voulez pas crever dans d'atroces souffrances, il vaux mieux que vous me montriez bien gentillement ou est l'auberge. Ensuite, vous viderez votre réserve de nourriture, et vous en remplirez mon sac. Daccord ?

L'aubergiste hocha frénétiquement la tête, et pointa son doigt en direction d'une petite salle. Il attrappa la clé sur le buffet, et la donna présipitament à son agresseur. Il savait que, dans ce genre de situation, il valait mieux s'épargner le plus grand nombre de tortures... Le jeune Haradrims s'empara de la clef, la testa dans la serrure, et, voyant quelle fonctionnait, égorga l'aubergiste. Il entra dans l'auberge, pris le plus beau et le plus robuste des chevaux, et s'en alla par la potière, après avoir pris tout se dont il avait besoin.

En peut de temps, Youlharc eu atteint Mardruak. Son cheval était d'une incotestable vitesse, et demerait infatigable dans toute sortes de situation. Il portait pourtant sur son dos une armure de métal qui le rendait invinsible à toutes les blessures. Quand il eu atteint sa destination, il stoppa son cheval, manga quelques fruits secs et s'allonga dans le sable. Il s'endormi avec plus de difficulté que la nuit précédente, mais son sommeil demera "de buche". Pendant la nuit, il s'entit de faibles chatouilles à son oreille. Il se reveilla : Un scorpion lui était monté au visage. D'habitude, ce genre de bête avait une peur atroce des humain, mais celle la avait ausée lui grimper sur le corps. Dans ce genre de situation, il ne falait pas bouger, pour ne pas éffrayer la créature qui pourrait bien le piquer. De plus, c'était un Corpus Yarzercus, dont le venin mortel agissait après 10 heures d'atroces souffrances et dont aucun remède n'en venait à bout. Avec une incroyable rapidité, le jeune prince l'atrappa par son dard de façon à ce que celui-si ne puisse pas le piquer, et lui arracha les membranes une par une. Quand il en resta plus que le corps, il l'envoya le plus loin possible. Youlhrac était si cruel qu'il espèrait qu'elle souffrirait pendent de longue heures avant de pouvoir mourir de fain et de soif...

Youlhrac : Bien fait pour toi, bête du desert. Tu expira tes péchés par la souffrance... Et que Morgoth t'acceille dans ses flammes...

Youlhrac ce remit en route. Durant 5 jours, il chevaucha le désert sans qu'aucun evenements ne le perturbe dans son voyage. Bientôt, il aurait quitté cette contrée de malheur qu'il haïssait presque à présent. Il pouvait déjà apperçevoir à l'horizon des terres plus fertiles, plus fraiches respirant l'oxygène pur. Il redoubla ses éfforts au contact de ces pensées, et son cheval infatigable atteint presque la vitesse du vent. C'est alors qu'il vint à l'idée de Youlharc de nomé son cheval "Zéphir du Nord". Quand il se trouva au bord de la frontière entre l'Harondor et l'Harad, il s'arrêta, inspira une grande bouffée d'air frais, et continua son chemin. Au bout de quelques minutes de chevauches, on pouvait déja remarquer que la terre était de plus en plus coiffée de touffe d'herbe fraiche lavées par la rosée du matin. C'était certain : Morgoth n'habitait pas ces terres...

Youlharc : Aller, Zéphir. Nous devons encore marcher jusqu'au crépuscule, car les terres que nous chevauchons sont encore inhabitées...

Son cheval poussa un hénissement de fatigue et ce remit tristement en route, d'un pas las. Voila donc à quoi ressemblait les horinzons que Youlhrac avait tend voulu voir, tend voulu conquir. Mais à présent, il ne voulait plus devenir un grand seigneur : Il voulait seulement vivre libre.

Voila, c'était une petite histoire qui se termine plutot bien, j'espere que sa vous a plus ^^

Si vous avez aimer, vous pouvez la mettre sur word et l'imprimer, sa sera plus pratique pour la lire...

C'est déjà fini ? Personne ne meurt dans d'atroces souffrances ? Pas de fin dramatique avec le héros planté sur une pique fichée dans le sol ? C'est pas drôle, ça... Sinon, c'est pas mal. Tu deviendra un grand, p'tit gars, c'est tonton Silgalam qui te le dis

merci tonton silgalam je vais en écrire une autre... Il y aura plus de morts atroces

Voila, comme promis, je vais me mettre à l'ouvrage du "tome" 2 des aventures de Youlharc. Attention : Ce seront des aventures plus sombres et dans un monde plus ténébreux...
Voici le titre :







Traduction (pour les nuls en anglais) : ALMOST DEMON Presque démon

Youlharc grandit sauvagement après son entrée dans le Nord, comme décrit dans le livre précédant. Il atteint sans ennuis les 21 ans, son esprit devenu rapace et sans merci, il tuait sans pitié les pauvres voyageurs qui traversait ce qu'il appelait "sa forêt". Les seigneurs qui voyaient les leurs disparaitrent commançaient à ce poser des questions, et désidèrent d'en avoir le coeur net en envoyant un patrouille dans la forêt. Quand les gardes découvrirent le jeune "singe", il n'urent aucun mal à le capturer (ils étaient 5 contre lui). Il le présentèrent à leur chef, et, sous la torture, dévoila la totalité de son aventure. Le roi ce lissa les moustaches en signe de satisfaction, et son sourire sadique ne présaga rien de bon au jeune haradrim. Il le fit emmener (non sans violance) dans une grande salle, ou était entreposé une cinquantaine de pots en porcelaine. Il s'écria d'une voix sournoise :

Le seigneur : Vois-tu, mon ami, tout ces pots ? Et bien ils contiènent les cendres de tes frères ! Ceux-si ont eu le malheur de s'aventurer sur nos terres... Ils ont on payés cher de leur offance.

Youlharc se débatta, mais rien n'y fit : De lourdes chaines le tenait à une certaine distance de l'ignoble. Celui si ricana bruiament, l'air satisfait de sa comédie.

Le haradrims réussis non sans difficultés à s'évadé des barreaux de sa triste prison. Il juga sage de ne pas retourner dans sa forêt, car son instint de bête avait laissé intact quelques reflexes de son petit cerveau. Il remonta donc plus vers le nord, et s'installa dans une clairière parsemée d'arbres au allures de printemps. L'herbe qui la recouvrait était fraiche d'une autre allure que celle de la rosée. Il était plaisant de s'allonger sur les feuilles, et même ce sauvage vagabond trouvait cela d'une incomparable source d'agréable. Mais ce n'était pas pour autant qu'il oubliait l'affreux affronts que lui avait fait le seigneur Teragör. Il portait le nom d'un des desandant de Glorfindel, cet elfe qui avait courageusement abbatu un balrog dans les temps anciens, à l'époque ou Morgoth était encore le maître. Le jeune Haradrim resta dans sa clarière pendant plus de 3 mois, réfléchissant à la stratégie qu'il utiliserait pour corompre sont ennemi juré. Il dessida un jour d'aller jeter un coup d'oeuil à "sa fôret dans laquelle il avait vécu bon nombre de ses années. Il traversa avec prudance la lisière des frontière du domaine de Teragör, férocement protéger par ses gardes impitoyables. Mais quand il atteint sa destianation, une image d'horreur voila son visage : Seul des cendres souillaient le sol. Parfois, quelques bas de troncs calcinés jonchaient la terre, mais plus aucune sorte de végétation ne pousait en ces lieux. Sans réfléchir, il fonça vers le château de son ennemi, hurlant ses quelques paroles :

Youlharc : Creuvez tous ! CHIEN BATARS ! QUE VOTRE SANG ABREUVENT VOS TERRES ! MORT A VOUS ! MORT A VOUS !!!

Il courut à travers le champs, souillant le sol de ses pieds sale. Ecrasent les champs. Tuant, embrochant, décapitant tous ses ennemis. Il était fous de rage. Mais il fut vite neutralisé, et mis au pieds du seigneur. Celui si ce leva et lui dit :

Le seigneur : J'était certain que tu n'était pas assez bête pour rester dans cette forêt, mais quand même assez pour il revenir et vouloir te venger. Tout cela était une ruse pour te faire sortir de ton trou... Qu'en pense tu ?

Youlhrac ne répondit rien. Alors, l'ignoble s'approncha de lui. Il sesit un fouet et le testa sur le dos du fugitif. Mais celui si ne sembla ressentir aucune douleur. Au contraire, un sourir s'afficha à son visage. Durant toutes les années ou il avait vécu dans la pauvreté, il avait appris à ne ressenir que peut de douleur. Son interlocuteur enfourcha alors un large couteau, et commança à écorcher dousement le pauvre Youlhrac. Cette fois ci, il hurla et se tordit de douleur, mais immédiatement les gardes le plaquèrent au sol pour qu'il ne puisse rien faire. La souffrance était si intence, qui y sucomba et pleura de souffrance.

Ces tortures furent prolongées encore des heures, et de grandes et fraiches giclée de sang abreuvaient le sol.
Youlharc implorait sa mort, mais l'infect seigneur ne lui accordait même pas de mourir sans trop de souffrances. Il voulait lui faire payer d'avoir tuer ses serviteurs, mais Youlharc était assez intelligent pour comprendre qu'il le torturait par simple plesir. Durant toute la journée, il n'eu pas un moment de répit. Il avait beau suplier, prier implorer de ne se faire QUE écorcher, rien n'y faisait : Le diable en personne se tenait devant lui. Ses propres mains étaient souillées par le sang et la chair. Même ses gardes avient souvent des rictus d'éffrois au visages en voyant les souffrance que leur maître infligait à un simple rebelle, mais surtout le plaisir qu'il y prennait. Quand le soleil se coucha, il le jeta dans un cachot bourré de rats et d'areignées. Il était à moitié mort. En moins de 3 minutes, le cachot était emplis de son sang. Youlhrac n'avait même plus la force de pleurer, il avait déja usé toutes ses larmes. Même les morsures des rats lui semblaient être des plumes sur sa peau rèche. Personne, à son avis, n'avaient pu ressentir une telle souffrance. Personne n'aurait pu se retrouver dans une telle situation. Le jeune homme maudissait à présent le jour ou il avait mis les pieds dans le Nord, et toute sa vie il regrettera de ne pas être rester dans le Harad. La souffrance qu'il ressentait (même si elle était minime par rapport à celle qu'il avait ressentit lors de la torture) l'empêchait de s'endormir, et c'est comme cela que, toute la nuit, il se tordit sur le sol comme un ver de terre sur un briquet en feu. Le lendemain, il fut cesit par deux gardes et amené devant son ennemi juré. Celui si lui tendit une épée, pour qu'il puisse voir son reflet dans sa lame. Le jeune Haradrim s'en empara, et se regarda : Il était terriblement amochit. Il avait un oeuil en moins, le crâne ouvert recouvert de d'émoglobline séchée. Il se leva (les gardes l'avaient malencontresement laché) et il tenta de pourfendre le coeur de son ennemi, mais celui si contra son coup et lui mit la lame sous la gorge, avec un affreux sourire narquois qui voilait son visage.

Le seigneur s'empara d'un petit pot (un de ceux qui avait été entreposé dans la salle des cendres.

Le seigneur : Vois tu cela ? Et bien... C'est ta mère.

Il se mit à rire plus fort que jamais. Youlharc sentait une terrible rage bouiller en lui. IL se leva, hurla si fort que les gardes durent s'écarter. Le jeune Haradrim profita de cet instant pour les prendrent par le coup, et les égorger vifs de ses ongles. Le seigneur prit son épée, et fendit l'air de sa lame. Youlharc l'évita de justèce et ce lança d'assaut sur son ennemi, le poing levé au ciel. Il frappa son ennemi en plein crane. Celui-si s'ouvrit et de large coulée de sang s'en échappèrent. L'ignoble porta la main à sa tête, et, fous de rage, pourfenda l'épaule du vengeur. Celui si ne sentit aucune souffrance, car les tortures qu'il avait subit l'avait endurcit psycologiquement et phisiquement. Il se rettira lui même la lame du corps en grognant, et relança un deuxième assaut. Cette fois si, il fut intercepter par trois nouveau gardes, qui avait accourus en entandant les hurlements. Il fut empoigné, mis à terre et frapper, tout cet enchenement ne durant que quelques secondes, qui furent les plus longues de la vie de Youlharc. Mais il en fallait beaucoup plus pour l'abbatre : les gardes, qui n'avaient pas fait attention à ses bras, se firent déchirés l'estomac par les ongles très long du fugitif. Cela faisait plus de 3 ans qu'il n'avait pas eu l'occation de les couper, et il ne savait pas que ceux si lui servirait tend. Il se releva, lança un regard noir à son ennemi, puis juga plus sage de fuir sans demender son reste.

ah, bah voilà de l'histoire ^^ Tu as bien écouté les conseils de tonton Silgalam ^^

Oui, la pour être gore, c'est gore ! et attend de voir la suite... Au programme : Intestin grêle, émoglobine, foix qui saute, moelle extirpée du tibia... Ha, franchement, Un grand merci à Monsieurs GORE (je sais pas si il s'appelait comme sa, mais bon)

ATTENTION : Ce chapitre est une mis en scène du SDA, elle n'a en aucun cas rapport avec le livre et tous les faits qui y sont décrits sont purements hors-sujet. De plus, se chapitre nuit à la sensibilité des plus jeune

Youlhrac taillait un bâton, quand soudain il entendit un petite voix dans l'ombre. Il s'imterrompit pour tendre l'oreille.

La voix : Oui... Mon présieux... Ho, oui... Tu es as moi... As moi seul... Oui...

Le jeune Haradrim s'approcha. Une silhouette se désina. Une créature, frêle et fébrile, se tenait sur une pierre en carraissant du bout de l'index un petit anneau qui brilla à la lueur des yeux de Youlharc. Le jeune prince s'en approcha. A cette vue, la créature se présipita derrière un rocher. Youlhrac attendit quelques secondes, puis la créature sortit de sa cachette en hurlant. Elle s'acrocha au visage de notre héros, et lui enfonca ses dents dans le cou. Celui-ci hurla, et lui adressa un puissant coup de poing dans l'estomac. Puis il lui mit un puissant chassé dans le nez, tend bien que celui si se brisa immédiatement. Youlhrac acheva la créature en lui arrachant les vicères, provoquant des giclées d'émoglobines en tout sens. Il s'empara de l'anneau, et le mit à son doigt. Aussitôt, il devint aussi immaterielle qu'un hologramme, jusqu'a devenir totalement invisible. Il se diriga vers le chateau de son ennemi, quand il entendit un hurlement atrocement puissant. Deux grandes giclées de sang s'chappèrent de ses oreilles : Ses timpants avaient littéralement explosés. Une créature s'approcha de lui : Un dragon noir chevoché d'un cavalier capé : Un nazgul. Celui-ci sauta de sa monture. Youlhrac tenta de faire marche arrière, mais une force invisible l'en empêchait. L'homme s'approcha de lui, et lui dit d'une voix très roque :

Le nazgul : Donne moi... L'anneau...

Youlhrac hocha la tête pour lui dire non. Son ennemi lui enfourcha la main, et l'arracha d'un coup sec. Le jeune prince hurla et redevint immédiatement matériel.
Son rival s'empara de l'anneau, s'approcha de sa victime, et d'un seul coup de main lui explosa la machoire.

Youlhrac tomba raide mort au sol. Il vit les Havres Gris s'étendre à ses yeux, puis une ombre s'empara du ciel. Morgoth se trouvait à ses côtés. Il l'empoigna, lui broya le crâne et le lança dans l'eau. Puis plus rien. Seul du noir, le noir total du chaos, le noir total pire qu'une nuit sans étoiles.

Voila, une histoire qui se termine mal, et qui va faire plaisir à Silgalam. Comme j'avais un peu la flemme de faire un tome 3, j'ai fait mourir le héros. Ha, voila une belle histoire. Raconter la à vos enfants pour qu'il s'endorme le soir ^^

Oh...*a des étoiles dans les yeux* C'est zouli...

j'était sur que sa allait de plaire ET ATTEND J'AI UNE SOUDAINE PEUR : QUAND T'A DIT "C'EST JOLIE" C'ETAIT BIEN POUR LE SANG ET TOUT LE RESTE, N'EST CE PAS ??!!

oui ^^

Ouf ! J'ai eu peur... Je cru que tu parlait de l'histoire bidon avec les Havres gris... Ha, vraiment... Comme si c'était touchant...

ah, aussi, en effet. Un peu de beauté, ça ne fait jamais de mal.