Une bataille qui marquera l'Histoire

Dès le lever du soleil, Minas Tirith fut ébranlée par l'arrivée d'une armée. Les nouvelles du Front d'Osgiliath avaient rapportées que les orcs arriveraient bientôt, aussi fut-ce un soulagement pour les gardiens de la citadelle que de voir arriver une armée de 50000 Rohirrims. Mais le reste de la journée réservait encore des surprises. Le roi du Rohan et Eldarion, roi du Gondor, établirent un plan d'attaque dans lequel les cavaliers devaient se tenir cachés afin d'attendre que tous les orcs soient arrivés pour les attaquer par derrière. Mais ils se rendirent compte que tout était à revoir lorsque des cors annoncèrent l'arrivée des armées d'Erebor et de Fondcombe. Elrond était venu avec de nombreux elfes, et en avait aussi recruté en passant en Lorien. Le tout atteignait 40000 guerriers. A la fin de la journée, les rues de la Citée Blanche grouillaient de soldats. Un conseil avait lieu dans la salle du trône où se trouvaient Eldarion, le roi du Rohan, le capitaine des nains, Elrond, Haldir et les héros, puisqu'ils avaient Jadis commander leur propre royaume et était donc des tacticiens agueris. Eldarion fut remplit de joie de retrouver l'un de ses meilleurs amis, Karagandur, et Silgalam parla longtemps avec Haldir, qu'il n'avait pas vu depuis les attaques du royaume de Galadriel.

Eldarion se leva et fit un geste à un ses capitaines. Celui-ci se rapprocha, un grand rouleau de papier sous son bras gauche, qu'il posa sur une grande table basse. Tous les capitaines se rapprochèrent alors de la carte qui représentait toute la region qui entourait la forteresse.
Le capitaine: Les civils sont en train d'être mis à l'abrsi dans les Montagnes Blanches mais tout homme capables de se défendre à reçu l'ordre de rester pour aider à la défense de la cité. Nous devons être en tout moins de 120 000...

Silgalam: Nous avons été prévenu qu'un capitaine elfe devait bientôt nous rejoindre avec 10 000 elfes aguerris.

Eldarion: Et combien sont nos ennemis ?

Le capitaine: Ils sont plus de 500 000...

Toccan: Comment sont-ils disposés ?

Le capitaine: Et bien, le gros des troupes, principalement composé de fantassins Orcs et commandé par le Roi-Sorcier, se trouve à Osgiliath, retenus sur la rive Est grâce au remaquable travail des aventuriers ici-présents. Mais ils se sont ressaisis et en ont reconstruit d'autres (moins solides que l'ancien cependant). Ils peuvent traverser en nombre à présent.

Des bataillons Haradrims accompagnés de plusieurs Mumakils sont arrivés du Sud et campent en attendant les ordres du chef des Nazguls. Ils doivent être commandé par deux ou trois Spectres de l'Anneau. Il y aussi les Corsaires d'Umbar qui remontent le Fleuve avec leurs longs navires.

Il n'y pas, du moins pas encore, de menace au Nord...

Le Prince de Dol Amroth: On peut dire que la situation est critique, pour ne pas dire catastrophique... Mais nous devons nous ressaisir et combattre. Voici le plan que je propose pour éliminer une partie du gros de l'armée:

Nous allons cacher nos meilleurs rôdeurs dans les bois bordants Osgiliath, ils auront pour tâche de les gêner pendant la traversée du Fleuve. Plus près de la cité, nous alignerons nos meilleurs cavaliers en rangs serrés.

Quand les rôdeurs auront été repérés, ils fileront vers la citadelle et au môment où ils seront sur le point d'être rattrapé, nous enverrons la cavalerie les balayer en profitant de leur dispersement. Nous ne pouvons pas esperer en détruire ne serait-ce que le dixième de leurs troupes mais ce sera toujours cela de gagné...

Nimlofin: Oui c'est une bonne idée mais il faudra que les cavaliers aient dans leur esprits que des Mumakils se trouveront sur leur droite. Quiconque les aura vu à l'oeuvre comprendra que ces créatures sont particulièrement meurtrières pour les cavaliers.

Je propose que des archers aillent préalablement se poster dans les bois au sud, sur cette petite colline, commandés par un ou deux capitaines. Là ils utiliseront l'huile et le feu qu'ils auront rapporté avec eux pour incendier avec les tours qui se trouvent sur le dos des Mumakils. Tout le monde sait que ces monstres sont affolés par le feu, ils seront ainsi paniqués et ,en plus de laisser plus de temps pour les cavaliers d'accomplir leur travail, ils provoquerons des dégats dans les rangs des Haradrims...

Qu'en pensez-vous ?

Oui, cela est une bonne idée. Maintenant, reste à savoir qui commandera les missions.

Le roi du Rohan prt la parole :

Je commanderais personnellement l'attaque de la cavalerie. Je choisirais 5 000 de mes meilleurs cavaliers, et je peux vous assurer que nous allons creuser leurs rangs aussi facilement que des nains creusent la montagne.

Silgalam : J'accepte de faire partie de la mission au fleuve. Mais nous devons prendre parmis les plus discrets, pour tenir nos positions le plus longtemps possible.

Nimlofin : Je me joidnrais à Silgalam pour commander cette mission.

Elrond et Haldir se portèrent volontaires pour commander l'embuscade des Haradrims. Finalement, tout fut préparer très promptement, et Silgalam et Nimlofin se dirigèrent vers leur poste, accompagnés d'environ 1000 elfes entraînés très spécialement pour le combat discret en terrain couvert. Ils s'installèrent dans la forêt, et répartirent les hommes afin de couvrir la totalité des bois, et de sorte que même les plus éloignés puissent atteindre les ponts par les flèches. Silgalam et Nimlofin se mirent chacun à une extremité, pour pouvoir surveiller le terrain, et plusieurs soldats de confiances étaient placés à intervalles réguliers pour faire passer les messages. Lorsqu'il regarda derrière-lui, Silgalam vit des chevaux partir vers le Sud, pour retenir les Haradrims, et les cavaliers de Rohan commançaient à s'installer. Tout était pret, il ne restait plus qu'à attendre que les orcs lancent l'assaut. Ce fut rapide, car ces brutes ne se doutaient de rien, et les nazgüls avaient fait une inspection du terrain quelques heures avant l'arrivée des elfes. Ils commencèrent donc à traverser le pont, et Silgalam et Nimlofin levèrent les bras, pour donner le signal de tirer. Lorsque les premiers furent arrivés à terre, les flèches volèrent, et balayèrent les premiers, ainsi que ceux derrière eux. Les orcs paniquèrent, et coururent vers le bosquet; Des elfes continuaient à les cribler de flèches, pendant que d'autres se préparaient à frapper en se cachant derrière des arbres. Finalement, leurs ennemis ateinrent le bois, et commencèrent à le traverser en courant. Ce fut une véritable tuerie. Ils furent massacrés après les quelques premiers pas. Silgalam, puisque tout était en place, avait abandonné son poste, pour participer à la bataille. Ils avaient déjà éliminés une centaine d'orcs, mais ils arrivaient maintenant trops nombreux. C'est pourquoi le repli fut décidé. Les petite armée courait vers la citée, et seul quelques elfes, dans la fuite, avaient étés tués. Comme ils connaissaient la forêt, la quitter n'avait pris que quelques secondes. Ils étaient à mi-chemin quabd les orcs arrivaient sur les plaines. Il se mirent à les pourchasser, et prenaient un peu de terrain. Soudain, un nuage de poussière apparut en face, et quelques minutes plus tard, les cavaliers s'appretaient à frapper les orcs. Pendant ce temps, les rôdeurs retournaient à la citée, où ils s'installaient à leur poste pour défendre la citée. Ils virent les cavaliers revenir, presque autant qu'à leur départ. Le roi du Rohan se dirigea vers Eldarion et dit :

Nous en avons tué presque 5 000. Et les rôdeurs en ont éliminés quelques centaines.

Eldarion : Alors, il ne reste plus qu'à attendre Elrond et Haldir.

Du haut de la tour où s'étaient réunis les généraux de l'armée, Nimlofin regardait d'un air inquiet au Nord, espérant voir surgir Aramir et ses soldats. Au bout quelques instants, il détourna la tête et scruta de ses yeux d'Elfe au Sud. Il pouvait y apercevoir le féroce combat qui opposait les hommes d'Elrond aux Haradrims. Il se retourna alors vers les hommes présents.

Nimlofin: Nous devrions envoyer dès maintenant un puissant détachement de chevaliers, composé de Rohirrims et de chevaliers de Dol Amroth, au Nord, où nos ennemis ne nous attendent pas, où ils attendraient nos ordres pour fondre sur les arrières de notre ennemi. En effet la cavalerie ne nous sera pas utile à l'intérieur des murailles. Profitons qu'ils soient en train de reformer leurs rangs pour les envoyer discrétement.

Enfin le Gondor !

Aramir venait d'apercevoir la cité balnche, il se retourna vers son armée.

Mission acomplie mes braves, donc je pense que je vais vous dire de vous positioner sur les rempart de Minas Tirith, et je vous souhaite bonne chance à tous et je vous remercie de m'avoir aider à defendre la Comté.

Les Généraux de l'armée d'Elfes: C'est nous qui devons te remercier, tu es un grand capitaine

Merci

Les 9850 soldats se dirigèrent vers les rempart tandis qu'Aramir montait à la Tour rencontrer Nimlofin.

Comme Nimlofin l'avait proposé, la cavalerie reçut l'ordre de se diriger discrètement vers le Nord. Une fois les cavaliers sortis de la Cité Blanche, les soldats fermèrent la Grande Porte qui n'avait été détruite qu'une fois de toute l'histoire du Gondor, durant la guerre de l'Anneau.

Nimlofin était en train de méditer lorsq'un vigile vint à toute vitesse les prévenir qu'un grand bataillon se dirigeait vers la Cité. L'Elfe se leva précipitemment et courut vers les remparts. A sa grande joie, il reconnut la bannière d'Elrond qui flottait contre le vent.

Nimlofin: Ce sont les Elfes ! Ouvrez leur la porte !

Quelques instants plus tard, le Général Aramir fit son entrée triomphante avec ses soldats sous les yeux de l'armée réjouillie par leur arrivée. Ce n'était pas trop tôt car, une fois les arrivants placés sur les remparts, ils aperçurent à l'Est et au Sud de la poussière qui s'élevait: les troupes du Mal approchaient...

Dans la joie qui acompagnait l'arrivé de l'armée elfe, Silgalam remonta sur le mur pour regarder où en étaient les armées ennemis. Soudain, il vit devant l'armée des Harradrims une troupe de soldats qui chevauchaient vers Minas Tirith . Ils arboraient, eux aussi, la bannière d'Elrond, et le seigneur elfe fit son entrée dans la ville. Lorsqu'il descendit de son cheval, il se dirigea vers Eldarion :

J'ai réussit à ramenner environ les trois quarts des soldats qui m'accompagnaient, mais le résultat n'est guère brillant. Nous avons éliminés environ cinq Mumakils, et près de 5000 soldats d'infanterie.

Eldarion : Ce n'est pas grave. Au moins, vous nous revenez en vie. Mais la bataille risque d'être très rude...

L'organisation de la défense prit presque une heure. Silgalam était au Sud, dans la vague qui devrait surtout faire face aux hommes du Harrad. Autant qu'il put en savoir, aucun de ses compagnons de voyage n'étaient dans les environs. Il serait relativement seul, durant la bataille. Alors qu'il regardait le sinitre nuage de fumée qui s'élevait au Sud, signe de l'approche des Oliphants, il regarda rapidement ses troupes. Il contrôlait environ 5000 elfes archers, et 10 lieutenants attendaient ses ordres pour envoyer leur infanterie au combat. Finalement, il reporta son attention sur les orcs qui approchaient rapidement. Une demi-heure après, le combat avait commencé. Il n'avait lieu pour l'instant qu'au milieu du mur, mais il faisait déjà rage, et de grands cris parvenaient à ses oreilles. Mais des orcs commançaient à s'étaler comme une tâche d'huile de ong du mur, et Silgalam leva le bras, pour faire signe aux lieutenants archers, qui devraient faire tirer leurs soldats. Soudain, l'Ennemi arriva à portée. Silgalam baissa le bras, et immédiatement jaillit une volée de flèches qui transpercèrent les trois premiers rangs des orcs les plus proches. Alors, plusieurs échelles se levèrent. Silgalam donna l'ordre à l'infanterie de monter sur le mur pour les repousser. En quelques minutes, elles étaient retombées. Le combat durait depuis déjà une demi-heure, lorsque des tours de siège se profilèrent à l'horizon, et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, elles étaient à 30 mètres du mur. Silgalam commençait à sinquiéter. Une tour de siège serait extrêmement difficile à contenir. Soudain, des déclics se firent entendre du sommet des tours de garde de la citadelle, et d'énormes rocs de pierre volèrent s'écraser sontre les machines des orcs, qui se disloquèrent au moindre choc. L'elfe regarda en hauteur, et vit des catapultes installées sur les points surélevés, prêtes à agir à la moindre approche dangereuse. Alors que le combat semblait prendre une tournure avantageuse, le moral retomba. Silgalam venait de voir arriver les premiers Mumakils, et ils s'approchaient dangereusement du mur. L'elfe réagit immédiatement, et ordonna d'apporter sur le champ de 'huile et du feu. Les elfes trempèrent leurs flèches dans le liquide, disposé régulièrement le long des fortifications, et enflammèrent leur projectiles. Lorsqu'ils attegnirent les Oliphants, l'effet fut immédiat. Les nacelles prirent feu, brûlant tous les soldats et les bêtes, paniquées, couraient en tous sens, écrasant des orcs et percutant d'autres colosses. Ils en détruirent ainsi 5, mais il en restait une vingtaine, sans compter ceux qui arrivaient encore à l'horizon. Soudain, un pan entier du mu vola dans un nuage de poussière, Silgalam accourut pour voir l'effondrement et les cadavres d'une centaine d'elfes. Des catapultes avaient étées installées par les orcs, et elles avaient toutes visées ce point du mur, afin de le réduir en poussière. Et au grand désaroi de l'elfe, l'Ennemi commençait à rentrer. L'elfe fit le signe du feu à volonté, et descendit avec l'infanterie pour protéger la brèche, tout en faisant propager le message à Eldarion que le mur avait été percé.

Aramir donna l'ordre à ses archers de se placer sur les remparts, et au épéiste de se battre au coté de nimlofin et sigalam. Aramir se precipita du coté est de la cité et vit une énorme troupe de orc et de ouruk.horrifier il se dirigea vers sigalam et nimlofin et annonça:
Sigalam , Nimlofin une troupe de orc et de ouruk arrivent par l'Est. esque je peut me battre a vos coter.
Aramir le va la tête pour entendre la réponse ....

Nimlofin: Non, nous devons nous replier derrière la deuxième muraille, la première s'est presque effondrée, que l'on sonne le repli !!
Et que l'on ordonne aux Cavaliers au Nord de charger et de venir se réfugier !!

Aussitôt les cors sonnèrent et les soldats commencèrent à se replier tandis que l'élite des cavaliers du Royaume fondait sur les arrières de l'ennemi et se frayait un chemin pour rejoindre la deuxième enceinte.

Nimlofin: Aramir ! Viens, nous allons nous poster devant les portes de la deuxième muraille pour protéger le repli de nos soldats !

Tous les combattants encore vivants s'étaient réfugiés derrière la troisième enceinte, car la seconde venait déjà d'être perdue. Tout semblait joué. Les orcs gagnaient du terrain de manière effrayante. Bientôt, ils seraient dans la troisième partie de la citée. Ils prenaient tous les vivres sur leur passage, et les Mumakils empêchaient l'arrivée de nouveaux renforts. C'est ainsi que les héros combattaient pour protéger la porte autant de temps qu'il en faudrait pour permettre aux survivants de fuir vers l'enceinte suivante. Comme l'Ennemi ne faiblissait pas, ils se trouvèrent en cinq heures acculés dans la septième enceinte, et les orcs se massaient, de plus en plus nombreux., devant la porte et commençaient à l'enffoncer. C'est alors que le roi réunit tous les généraux :

Mes chers amis, je vous ai réunis pour vous prévenir que nous ne pouvons plus gagner la bataille. Nous devons sacrifier notre citée à la vie de nos soldats. Les survivants vont fuir dans les montagne pour ratrapper et protéger les civils, mais nous devons d'abord barricader solidement afin de couvrir notre fuite.

Ainsi, toute l'armée s'activa à trouver n'importe quels objets pour bloquer l'entrée. Lorsque ceci fut fait, l'armée se dirigea vers les montagnes à contrecoeur. Lorsqu'ils furent assez éloignés, ils se retournèrent pour regarder la citée se faire investir. Finalement, ils préférèrent ne pas regarder cela, et rattrapèrent les civils. Les nains, accomagnés des héros, retournèrent à leurs montagnes. Mais personne ne vit les treize hommes vêtus de noir avec des chevalières représentant des êtres étranges qui les observaient depuis le sommet. Puis, ils disparurent dans des nuages noirs.

Avant de se quitter, les aventuriers et le Roi s'arrêtèrent et se dirent adieu.

Eldarion: C'est ici que nos chemins se séparent, mes amis. mon peuple et moi, nous allons maintenant nous réfugier à Dol Amroth mais nous n'y tiendrons pas longtemps...

Nimlofin: Je vais vous donner ce conseil: allez avec vos soldats à Dol Amroth et envoyez vos femmes, vos enfants et vos vieillards dans les montagnes dans le royaume caché de Norlos. Mes frères les acceuilleront avec hospitalité et losrque vous serez acculé, allez-y aussi... Sur-ce, je vous dis au revoir...

Et ils se quittèrent ainsi. Les compagnons prirent alors la direction d'Erebor au nord du Rhovanion.