La grande Bataille

Nimlofin: De toute façon, nous n'avons plus rien à craindre, car les espions du Mage Noir ne s'aventurent pas au Norlos et nous sommes entrés dans son territoire et ce brouillard est fait par les Elfes pour se protéger des ennemis. Allons ! Suivez moi, je connais le chemin à travers les montagnes...

Ils marchèrent durant des heures dans des sentiers escarpés et Gamoreïn, Toccan et Halbarad avaient l'impression de tourner en rond. Mais au bout d'un moment, il arrivèrent dans une forêt dense dans laquelle, ils ne tardèrent pas à trouver un tunnel caché dont nul ne pouvait soupçonné l'existence à moins de le connaitre... Ils s'avancèrent dans le noir, jusqu'à ce qu'ils se fassent attraper par les sentinelles Elfes.

Un sentinelle: Qui êtes-vous et comment osez-vous venir ici ?

Nimlofin: C'est moi, Nimlofin de la Maison de Fëanor. Je viens avec des amis pour vous preter main forte en cette heure sombre. Voici Gamoreïn, Prince du peuple de Durïn, Halbarad chef des Dunedain du Nord et Toccan le Béornide. Comment avancent les préparatifs de guerre ?

Un sentinelle: Excusez moi, Seigneur, votre aide ainsi que celle de vos amis... Les préparatifs avancent mais nous avons besoin d'aide et d'autres pièges si nous voulons avoir une chance de les repousser. Maintenant, je vais vous conduire dans la cité...

Ils y furent donc mené sans tarder et Nimlofin partit rejoindre le Seigneur de la cité, un Noldor du peuple de Fëanor, tandis que Toccan et Halbarad allaient aider les autres soldats à préparer de quoi ralentirent les ennemis. Gamoreïn, lui ne savait pas quoi faire et hésitait lorsqu'il entendit une voix connue derrière lui.

Eldest: Comment vas-tu mon cher ami Nain ?

Gamoreïn: Eldest ! Toi ici ?

Il se serrèrent dans les bras, et, après s'être gracieusement salués, Eldest lui dit :

Eldest : Je suis ici car ton père ma bannit : Je l'ai trahit, après que tu sois toi même parti vers le Mordor... J'étais désesperé que tu ne sois plus des notres, alors j'ai décidé de tout faire pour me faire bannir et partir à ta recherche... Mais j'ai baissé les bras quand j'ai appris que tu étais déja un infâme... Te voir là, toi ! Quelle surprise ! Je suis tellement heureux ! Je croyais t'avoir perdu à jamais... Raconte moi un peu ton histoire.

Après lui avoir raconté ce qui s'était passé après qu'il se soit enfuit du Mordor, Gamoreïn chercha Nimlofin pour lui présenter son ami.


[Hors Rp : Ne vous inquietez pas, Eldest sera bientot un nouveau personnage réel !]

Mais Nimlofin était pour l'instant bien occupé; En effet, en tant que stratège émerite, il participait au Conseil qui réunissait les différents Seigneurs du Norlos et du Gondor. Le roi Eldarion, son ami, était également présent...

Nimlofin: Il faudrait ralentir leur progression dès leur arrivée aux Montagnes qui bordent Tùna. Je propose que l'on envoit les meilleurs archers Elfes et les meilleurs rôdeurs du Sud dans la forêt qui bordent les montagnes entourant la ville... Mon ami, Halbarad chef des rôdeurs du nord, qui se trouve dans la cité actuellement, s'aquitera fort bien de cette tâche.

Eldarion: Quant au col qui mènent à la cité, il faut également le protéger car c'est l'unique moyen de rentrer dans la ville, avec bien sûr le passage par lequel vous êtes arrivés Nimlofin. Si le col est pris, il ne restera que les murailles, nos hommes et nous pour protéger la capitale...

Celebhir, le Seigneur du Norlos: Que l'on envoie dès à présent, comme l'a ordonné mon Roi Nimlofin, les archers commandés par le Seigneur Halbarad dans la forêt et que des piquiers et des soldats partent rejoindre le col qu'ils devront tenir. Je partirais avec eux...

Nimlofin: Non, j'irais avec Gamoreïn le Nain, restez ici donner les ordres et défendre la ville. Dans la plaine qui mène aux murailles, après le col, il faudrait des cavaliers prêts à charger les ennemis qui s'y déverseront...

Eldarion: J'irais avec mes cavaliers et ceux de Hyanarhil le Prince de Dol Amroth, et nous protégeront votre retraite, Nimlofin, ainsi que celle des archers de Halbarad...

Nimlofin: Qu'il en soit ainsi. A combien de jours d'ici se trouvent nos ennemis d'après vous, Celebhir ?

Celebhir: D'après nos espions, ils se trouvent à quelques quatre jours d'ici...

Nimlofin: Bien, nous avons encore du temps. Je vais maintenant rejoindre mes amis et leur expliquer le plan.

La séance fut levée et Nimlofin sortit de la salle avec un air songeur. Il rejoignit la Tarverne l'Homme Ours où il trouva Toccan, Halbarad, Gamoreïn et un inconnu que le Nain lui présenta comme son ami et qui se nommait Eldest. Puis, l'Elfe leur expliqua le plan...

Halbarad: Bien, je m'en vais donc mobiliser les troupes et préparer le terrain, mais avant je dois me reposer car nous avons fait un long voyage. Vous feriez mieux d'en faire autant ! Mais il y a une chose que je ne comprend pas, comment les Orcs ont-ils trouvé l'emplacement de la cité ?

Nimlofin: Il n'en a pas été sujets lors de la réunion mais le seigneur Celebhir m'a annoncé confidentiellement qu'un traitre du Gondor a rejoint les rangs du Mordor et qu'il marche avec eux en ce moment pour leur montrer le chemin...

L'air sombre, le Dunadan se leva de sa chaise et alla dans sa chambre où il dormit deux bonnes heures avant de se réveiller, plus en forme que jamais. Alors, il se sortit de l'auberge et se dirigea vers le camp d'entrainement des soldats Elfes. Là, environ cinq centaines de rôdeurs elfiques d'élite l'attendaient ainsi que qu'un peu plus de rôdeurs du Sud. Sur ses ordres, ils se dirigèrent en ordre vers la forêt sombre qui bordait les montagnes, remparts naturels de la ville. Puis, lorsqu'ils arrivèrent, Halbarad ordonna aux rôdeurs de se poster aux endroits stratégique, tandis qu'il donna l'ordre à quelques uns de patrouiller à la recherche de la moindre trace suspecte d'espions.

Après s'être reposé comme le lui avait conseillé Halbarad, Nimlofin sortit de l'auberge à son tour et partit en direction du col. Les soldats s'y trouvaient déjà et ils avaient établis un camp. Nimlofin s'approcha puis monta sur une estrade afin que tous le voient. En effet les soldats du Gondor le connaissaient et admiraient sa dextérité au combat et il en allait de même pour les Elfes qui, en plus de cela, le considéraient comme leur suzerain car Nimlofin était le fils de Fëanor le Haut Roi des Noldors. Il donna l'ordre que l'on construise des barricades en haut de la pente qui menait au col afin de géner les ennemis Orcs.

Nimlofin: Soyez sans pitié ! Car si vous tombez, le Rohan tombera ainsi que tous les autres royaumes des peuples libres de la région...

Les soldats, alors, l'acclamèrent, et se mirent au travail. Gamoreïn et Eldest rejoignirent l'Elfe et discutèrent avec lui sur la stratégie qu'il convenait d'adopter contre les Orcs du Mordor.

Deux jours passèrent lentement, mais les Orcs n'arrivaient toujours pas. Le soir du troisième jour, Halbarad décida de partir avec quelques rôdeurs à la recherche de renseignements sur la position des créatures du royaume Orc du Mordor. Ils s'enfoncèrent donc dans la brume épaisse qui avait envahi la forêt en prenant le plus de précautions possibles pour ne pas faire de bruit. Après quelques heures de traque sans succès, le groupe entendit du bruit. Ils grimpèrent donc agilement dans les arbres pour se mettre à l'abri. Deux Orcs approchèrent et à la vue de leurs habits, les Hommes devinèrent qu'ils étaient des espions.

Premier Orc: Satanée brume, voilà trois jours que nous cherchons l'entrée secrète de cette maudite cité...

Deuxième Orc: Oui, mais j'ai entendu une conversation entre le chef et le traitre. Il m'a semblé que l'Homme avait enfin retrouvé son chemin. Cette brume a fait du bon travail...

Premier Orc: Maudits Elfes... Vivement la bataille!

Mais ces deux Orcs isolés n'y participèrent jamais car avant qu'ils n'aient eu le temps de se retourner, une flèche les atteignit chacun à la gorge. Ils s'effondrèrent tandis que les rôdeurs déscendaient de leur cachette.

Halbarad: Vite! Si nous pouvons croire les propos de cette vermine, il nous faut nous hâter!

Ils retournèrent donc précipitemment sur leurs traces. Lorsqu'ils atteignirent le gros des troupes, ils constatèrent avec soulagement que la bataille n'avait pas commencée. Halbarad envoya sur le champ un messager pour prévenir Nimlofin et la cité. A peine celui avait-il disparut de son champ de vision, que le rôdeur entendit les clameurs et les champs de guerre que poussaient habituellement les Orcs. Ceux-ci s'éteignirent pourtant rapidement car les flèches volèrent sur eux car les archers Elfes voyaient aisement dans le noir de même pour les habiles rôdeurs du Sud. Cependant elles ne suffirent pas à les repousser car leurs forces étaient considérables. Halbarad évalua le nombre d'ennemis à plus de trois cents milliers de combattants ce qui était énorme étant donné que les défenseurs étaient environ quelques dizaines de milliers... Lorsque les hordes d'Orcs arrivèrent au pied des montagnes, après avoir repoussé les rôdeurs, ces derniers rangèrent leur arc et dégainèrent leurs brillantes épées, puis ils combattirent bravement. Mais ce n'était pas suffisant pour repousser l'armée adverse, c'est pourquoi Halbarad fit sonner la retraite qui se termina en déroute complète. Tous courraient éperdument vers le col en sachant que les soldats les y attendaient pour protéger leur retraite...

Il faisait nuit noire... Nimlofin se réveilla de son sommeil elfique sans rêves et décida d'aller marcher pour changer ses sombres pensées. La nuit était silencieuse et la pleine lune s'élevait au dessus des Montagnes. L'Elfe contempla les étoiles et aperçut les Neldelvëa, symbole d'espoir pour les Elfes, plus brillantes que toutes les autres étoiles. Un courant d'air froid lui glaça la peau et un mauvais pressentiment lui vint à l'esprit. Il se dirigea vers la muraille, prenant préalablement avec lui ses armes, et vit alors au loin une forme sombre qui courrait dans sa direction. Il attendit qu'elle arrive à sa hauteur et reconnut à ses vêtements et ses armes que c'était un rôdeur.

Le rôdeur: Seigneur, les Orcs ont découvert l'entrée de la cité ! Le Seigneur Halbarad et ses Hommes tentent de les retenir, mais ils sont trop nombreux...

Nimlofin: Va prévenir les soldats derrière la muraille. Que tous se réveillent car la nuit sera meurtrière !

[Hors RP: Désolé pour ce court post mais je dois aller au lycée]

Eldest était en compagnie de Gamoreïn, parlant de ses dernières expeditions, quand il entendit le son d'un cor. Il tira ses sabres de ses fourreaux, et couru en direction des tourrelles, accompagnés de son ami. Un masse gigantesque d'orcs hurlent comme des bêtes, le fit frissoner.

Eldest : Voila venir une grande bataille, mon cher ami. Le ciel est rouge : Le sang coulera à flot ( Legolas, SDA les deux tours)...

Gamoreïn : Je mourerai pour la victoire, et cela, sa ne me déplait pas le moins du monde...

Eldest : Rien ne te dit que tu mourera, et c'est la puissance de ton marteau qui me le dit.

Gamoreïn souria, regarda son ami et tout deux rirent en coeur. Mais les puissants hurlements orcs leur ôtèrent leur joie.

A la tête des orcs, trônait un cavalier wharg. Sa monture était éstropiée à de nombreux endroits, comme souillée par la guerre. Cette bataille allait être terrible : Le nain le sentait. Comme l'avait dit Eldest, le sang coulerait à flot. Nimlofin était en train de passer dans les rang, encouragent les guerriers pret au combat depuis déja quelques heures. Des gouttes de sueurs perlaient au visage de tous. Certain priait, d'autre injuriait leur propre existance... Un d'eux, même, chantait une comptine elfique de l'ouest. Eldest semblait la connaître, car un rictus expressif d'émerveillement apparu à son visage quand la chanson parvint à ses oreilles. Alors, une larme s'échappa de son oeuil.

Silgalam avait fini par s'endormir sur le dos de l'aigle, à cause du vent sifflant à ses oreilles, et du balancement du vol de l'oiseau allant d'un courant ascendant à l'autre. Il fut réveillé soudain par des cris violents venant du sol. Il se releva sur son séant, et s'étira. Il aurait presque oublié la gravité de l'instant, si les hurlements qu'il entendait n'avaient étés caractéristiques des orcs. Il se dressa sur ses deux pieds, sortant ses deux lames, et regarda en-dessous. L'aigle prit la parole :

Nous sommes arrivés, messire elfe. C'est ici que nos chemins se séparent. Le combat fait rage, en bas, vous ne serez sûrement pas de trop.

La bête se posa en haut d'un rocher et fit descendre l'elfe, puis reprit la parole :

Je fus heureux d'avoir put vous être util, et j'espère que nous aurons l'occasion de parler à nouveau.

Il battit des ailes et produisit un souffle qui fit plier Silgalam, et lorsqu'il se releva, il vit l'aigle volant vers le Nord. Il se retourna immédiatement, et sauta à bas du rocher, courant ensuite vers le champs de bataille. Les bruits de coups et de chocs se rapprochaient de plus en plus. Finalement, L'elfe arriva en haut d'un rocher en contrebas duquel orcs et elfes se livraient un rude combat. Il n'était qu'à environ 5 mètres au-dessus, et il bondit pour atterir sur le sol. Là, plusieurs orcs se jetèrent immédiatement sur lui, et Silgalam les élimina en faisant de grands moulinets autour de lui. Lorsqu'il jeta un regard sur le combat, il vit des dizaines de milliers d'orcs qui couraient sur les débris encore fumants d'un rempart écroulé submergeant une faible défense qui avait peine à retenir le flot de plus en plus dense d'assaillants dont une grande partie était déjà passée derrière. C'est pour cette raison qu'il courut vers les restes du mur, afin d'aider. Lorsqu'il l'atteint, il trouva Halbarad en train de lutter contre un groupe d'orcs, qui s'attaquaient en un groupe massif à lui seul, et le dunedain était en train de se faire dépasser. Silgalam tua un orc qui s'apprêtait à le frapper par derrière, et continua à l'aider tout en parlant :

Halbarad !! Est-ce que tu sais où se trouve Nimlofin. J'ai une information de la plus haute importance pour lui !!

Je te remercie. Pour ce qui est de Nimlofin, je l'ai vu pour la dernière fois un peu plus loin sur le mur. Tu devrais le trouve rapidement.

L'elfe acquiessa de la tête, et continua sa course le long des débris, tout en combattant les orcs. Il aperçut en chemin Gamoreïn qui combattait un groupe d'orcs imposant seul avec un elfe, donnant de grands moulinets en tous sens et riant aux éclats. Plus loin, Toccan se battait également, changé en ours, qui laminait les rangs des orcs, et Karagandur qui bondissait en tous sens et frappait par derrière avant d'attaquer par surprise l'adversaire qui le fixait des yeux. Fianlement, il trouva Nimlofin, qui luttait contre plusieurs orcs. Silgalam courut vers lui, et s'arrêta à son côté. Le noldor, à sa vue, s'écria :

Ah ! Silgalam. Tu as réussit à nosu rejoindre. Arkenstone est là aussi ?

Justement, répondit-il tout en tranchant des gorges, bras, et membres d'orcs en tout genre. J'ai quelque chose à te dire à son sujet.

Nimlofin tua un orc, et se retourna d'un air grave :

Comment cela ?

Nous étions partis vers Mirkwood afin de pourchasser l'Organisation dans une autre direction, et nous avions choisit d'aller vers Dol Guldur.

Nimlofin devint un peu plus sombre.

Nous avons étés attaqués, et je fus fait prisonnier.Il s'arrêta pour tuer un orc qui chargeait. Un orc vint me chercher pour que je rencontre le seigneur de Dol Guldur, et j'ai découvert que c'était Arkenstone. Il a reprit son domaine et compte bien nous en faire baver pour avoir ruiner son empire par le passé. Il prépare quelque chose, mais je n'ai pas eu le temps de savoir quoi. J'ai dû fuir et sauter par la fenêtre, où un aigle m'a récupéré et ramenné ici.

Nimlofin fit un signe de la tête, et continua à combattre. Cependant, il semblait sombre, et pensif. Silgalam ne perdit pas de temps et commença à lutter lui aussi contre l'assaillant.

Un orc charga Gamoreïn : Celui si lui brisa le crâne d'un simple coup de marteau. Quand à Eldost, lui, trancha deux têtes en deux coups de ses lames. Les sabres elfiques étaient si affiné et si fin qu'il pouvait trancher un cheveu de le sens de la longueur... Mais il était assez puissant pour lassèrer la peau d'un troll. Deux orcs se lenssèrent une fois de plus sur les deux amis, qui les embrochèrent d'un même mouvement. Les coups de marteau du nain était puissant et dévastateur, et les tranchage de l'elfe était présit et fatal. Ces deux valeureux guerriers avaient jadis appris à ce battre côtes à côtes : Ils formaient à présent un duo dévastateur... L'air sombre de Nimlofin inquièta Gamoreïn : Il tenta de s'en approcher, mais une dixaine d'orcs lui barrèrent le chemin. Eldos courut à son secour, et le nain oublia qu'il devait parler à Nimlofin... Soudain, il aperçu le seigneur elfe qu'il connaissait bien : Silgalam.

La bataille tournait en faveur des elfes. La fatigue s'enparait des orcs, Eldest était heureux. Il se retourna pour voir ou en était Gamoreïn, mais son ami n'était plus à ses côtés. Il pivota sur lui même pour voir si il n'était pas dans les environs, mais il ne l'aperçu pas.

Eldest : Gamoreïn ! GAMOREÏN !!!

Seul un faible équo lui répondit. Il déssida alors de faire marche arrière, inquiet de cette mysterieuse disparition. Soudain, il fut soulager d'entendre le cri de guerre de son ami qui se jetta sur un régiment d'orc. Il les écrasa de son poids. L'effet de surprise réussit, Eldest en profita pour attaquer le flanc gauche. Le nain, posté au centre du régiment, était devastateur. En moins de 2 minutes, les ennemis furent réduit à néant. Mais la bataille était loin d'être terminé : Les renforts ennemis étaient sur le point de charger...

Eldest : FEUX A VOLONTé ! REDUISEZ EN BOUILLIE CETTE RACAILLE ! QUE LE SANG NOIR DES ORCS COULE A FLOTS ET QUE LE SOLEIL ROUGE SE LEVE !

Tous les elfes s'executèrent. Une nuée de flèche attegnirent l'ennemi, faisant tomber la première ligne d'orcs. C'est alors que, au loin, on entendit un cor étrange : Les renforts n'était pas composé que d'orcs, mais aussi de Haradrims corsaires et pillards...

Gamoreïn : Sa s'annonce mal...

Eldest : Ho oui, ho oui... Esperons que ton marteau sera assez lourd...

Tous les guerriers s'élancèrent courageusement sur les ennemis. Les archers tirèrent une deuxième nuées de flèches qui atteignit la deuxième et la troisième rangée. Silgalam leur ordonait les tirs. Nimlofin courait à la tête des guerriers, hurlent le cris de guerre qui serait peut être le dernier... Le choc des deux armées fut terrible : Les lances et les rapières s'entrechoquèrent en un bruit insuportable. Le sang souillait le sol. Le ciel respirait la mort...

Le combat faisait rage et les morts étaient nombreux de chaque côté. Pourtant, malgré les énormes efforts des représentants des peuples libres, les Orcs prenaient l'avantage grâce à leur supériorité numérique et les Elfes et les Hommes perdaient du terrain. La déroute semblait inévitable... Nimlofin acheva un Orc et regarda autour de lui, l'air déboussolé. Un énorme coup de masse l'avait, quelques temps auparavant, percuté à la tête l'assommant à moitié. Il chercha ses amis pour leur demander de l'aide...

Nimlofin: Silgalam !

Un groupe d'Orcs fonça sur lui.

Nimlofin: Halbarad !

Mais aucun ne répondit. Il était seul, et le groupe était arrivé à sa hauteur. Il terrassa un Orc qui le menaçait de sa lourde arme mais ne put éviter un coup d'épée qui l'atteignit à l'épaule. Avec un cri de douleur, il s'effondra en arrière en levant ses armes pour se protéger, bien décider à vendre cher sa peau. Pourtant...

Halbarad: Feu !!

Les flèches volèrent et tuèrent les Orcs qui se tenaient devant Nimlofin. Pourtant, celui-ci reçu un dernier coup qui le toucha à la tête qui le fit plonger dans le noir.

Gamoreïn : NIMLOFIN !!!

Il acheva un orc, et se présipita sur le blessé. Il déchira un pent de son habit et l'apliqua sur la blessure, de sorte à stopper l'émoringie. Mais son ami était toujours inerte. Alors, Gamoreïn se releva, ses yeux devinrent noirs. Il re-dégena son marteau, se jetta sur un régiment. Le premier orc sur lequel il tomba eu le crâne brisé, le deuxième eu les homoplates broyé, le troisième le buste sectioné, et, le quatrième esciva son attaque. Le régiment, à présent mis au courant, coururent au secour de leur maitre. Le nain leva son marteau au ciel, puis l'abaissa lourdement au sol, ce qui produit un séisme plus que violent. Un éboulement de roche s'éfondra sur le dixième du quart des renforts (se qui représentait environ 1000 orcs) et le régiment qui l'entourait prit la fuite, affolé par la force surhumaine du nain. Mais Gamoreïn en ratrappa un, qui eu le malheur d'avoir été le dernier. Il lui arracha les bras. Des ruissèlements de sang s'écoulèrent, jonchant le sol rocheux. Le torturé hurla de douleur. Gamoreïn le jetta à terre, et, d'un violent coup de pied, lui explosa la tête.

Gamoreïn : Pas de pitié... Aucune pitié.

Après qu'il eu repris ses esprits, Gamoreïn se releva, porta Nimlofin sur ses épaules jusqu'a sa chambre, avant de rejoindre la bataille. Il rejoignit Eldest en suffoquant.

Eldest : Nous n'avons pas beaucoup de chance de victoire. Nous devons battre en retraite...

Gamoreïn : Il n'en est pas question. Nous devons continuer à nous battre.

Son ami ne lui répondit pas. Il se contenta de fendre le crâne d'un orc qui lui faisait face. Alors, le nain rejoignit Silgalam. Celui si avait un air grave, et était inquiet de l'état de Nimlofin.

Silgalam : Est-ce qu'il va bien ?

Gamoreïn : Je ne sais pas trop... Il a été grièvement blessé. Mais il s'en remettra, je pense

Silgalam : Sa n'en fait aucun doute...

Gamoreïn avait l'air grave. L'état de Nimlofin lui brouillait l'esprit : Il ne savait absolument pas si les blessures étaient graves. Mais il dessida de continuer la bataille sans lui, espèrant qu'il s'en remettrait bientôt. Mais il savait que la bataille serait difficile sans lui. Ses stratégies les avaient plus d'une fois sauvés...
Le cor des orcs retentit encore. La nuit tombait, et l'issus du combat n'était toujours pas déterminé... De larges blessures pronfonde couvrait le visage du nain. Il commençait à fatiguer, mais ils ne devaient pas s'avouer vaincus.

[Hors-RP : Dit donc, Eldest, toi sa se voit que tu n'es pas vraiment daccord avec la proposition de Arkanstone... Ta completement controlé mon personnage ]

La bataille continuait... Les morts tombaient de plus en plus nombreux. Tout d'un coup, un cor elfique sonna, car Silgalam, voyant que la situation devenait critique, décida qu'il était temps de se replier.
Les combattants se dirigèrent donc en courant vers la cité talonnés de près par les Orcs. Au moment où ceux ci allaient les rattraper dans la plaine qui menait à la ville, Silgalam fit souffler à nouveau dans le cor et la cavalerie du Gondor et des Elfes chargea l'ennemi sur ses côtés comme l'avait prévu Nimlofin. Les soldats purent donc se replier sans encombre tandis qu'un violent combat s'engageait entre les cavaliers et l'armée ennemie.
Silgalam courrut vers les écuries, accompagné par Gamoreïn et Eldest, et là trouvèrent par chance des chevaux qui n'avaient pas été réquisitionnés. Deux chevaux elfiques à la robe sombre.

Gamoreïn: Je ne peux pas grimper sur cet animal, j'irais à pied ! Les Nains sont endurants et peuvent courrir très vite quand ils sont dans le besoin !

Silgalam: Bien ! Je prends celui-ci...

Il sauta agilement sur la monture et partit au galop vers le champ de bataille, suivi de près par Eldest.
Pendant ce temps, Nimlofin reprenait ses esprits. Il tenta de se lever mais la douleur le contraignit à rester couché.

toccan : depechez vous mez amis . sinon no troupes vons toutes se fairs eliminez

sur ses mots le gros beornide parti à toutes vitesse vert les combas qui faisaient rages un peu plus ba dans la vallé

Gamoreïn courrait sur le sol battut de toute la puissance de ses jambes. Malgré qu'il soit assez rapide, il avait du mal a courire après deux chevaux elfiques réputés pour leur rapidité... Des nuages de poussières s'élevaient à chaques pa de cheval. Soudain, la terre ce mit à trembler, et une vingtaine d'orcs se dévoilèrent.

Silgalam : Finissons-en le plus vite possible...

Eldest : Tu as raison !

Les deux elfes armèrent leur arc de quatres flèches qui vinrent ce planter avec présision dans les front mat des guerriers orcs. Ils tombèrent comme des masses sur le sol poussiereux. Gamoreïn a son tour fonça sur l'ennemi et brisa autant de crâne qu'il ne restait de têtes.

Eldest : Toujours aussi vivace, mon cher ami !

Silgalam : Nous n'avons pas le temps de complimenter : l'heure est grave... Nous n'avons pas tout notre temps.

Tous se remirent en route.

Mais la nuit tomba et les ténèbres envahirent la vallée. Les Orcs opérèrent donc un repli vers le col, car ils n'étaient pas aussi habiles que les Elfes pour combattre dans l'ombre, et ils établirent un camp. Les Hommes du Gondor et les Elfes, eux aussi, se dirigèrent vers la cité, ramenant avec eux les blessés et les morts, de peur que leurs corps ne soient mutilé par les créatures du Mordor. Ils étaient harassés, car ils avaient combattu toute la nuit puis tout le jour

Pendant ce temps, les meilleurs guérisseurs de Royaume, réquisitionné par Celebhir le Seigneur du Norlos, allèrent au chevet de Nimlofin pour guérir ses plaies. Il s'avéra qu'ils parvinrent à le soigner rapidement car l'Elfe avait un grand pouvoir de récupération, comme les hauts Elfes de jadis. Il parvint donc à se lever. Il quitta sans hésiter sa chambre pour s'élancer vers les remparts. Là, sur les murs, veillaient ses amis, Silgalam, Gamoreïn, Eldest, Toccan, Karagandur et Halbarad. Leurs yeux étaient rivés vers le col où dormaient -du moins en apparence car leur camp était assez calme- leurs mortels ennemis.

Nimlofin: Salut à vous, mes amis ! Vous ai-je manqué ?

Silgalam: Nimlofin ! Par les Valars, tu es guéris !

Nimlofin: Oui, les blessures étaient assez superficielles...

Gamoreïn: Superficielles ?? Je les ai vu quand je t'ai porté. Tu était aspergé de sang...

Nimlofin: Peut être, mais les guérisseurs du Norlos sont doués. Je me sens en pleine forme ! Comment se passent les combats ?

Halbarad: Assez mal, en vérité. Nous avons réussi à les repousser et à leur infliger de nombreuses pertes mais les nôtres sont importantes également...

Nimlofin: Courage ! Nous pouvons y arriver. Silgalam et moi avons vécu des situations bien pires, comme lors de la bataille de Gondolin. Ce jour-là, en plus des centaines de milliers d'Orcs, un Balrog nous avait combattu...

Eldest: Un Balrog de Morgoth ! Et que s'est-il passé ?

Silgalam: Ensemble, nous l'avons combattu durant des heures puis nous l'avons abattu, non sans recevoir de nombreuses et graves blessures...

Eldest et Gamoreïn se turent. Ils imaginèrent la terreur qu'avait causé le Balrog lors de la mémorable bataille de Gondolin. Alors ils reprirent espoir et tendirent leurs armes en signe de défi vers leurs ennemis...

Eldest : Demain, le sang coulera à flots...

Gamoreïn er son ami bessèrent leur armes. La bataille n'était pas terminée. Tout à coup, un eclaireur chargé d'espionner les orcs couru vers eux. Il était couvert de profondes blessures. Quand il fut arriver au pieds de Nimlofin, il dit d'une voix saccadée :

L'eclereur : Ils... Ils... Ont des... des trolls...

Nimlofin : Ce n'est pas grave, nous avons vu pire...

L'eclereur : Ce n'est pas tout... Il y a des haradrims... Venu du Nord pour assiger la citée... Ils ont pactisé avec le mage noir d'isengard ! NOUS ALLONS TOUS MOURIRENT !!!

Une terrible expression d'horreur voilait son visage. Il semblait possédé : ses pupilles se dillataient plus que personne. Il serait si fort les mains de Nimlofin, que celle si se mirent à saigner. Puis il tomba au sol, inerte. Mort de peur. Les yeux toujours écartés.

Gamoreïn : L'heure est grave...

Eldest : Peut être, mais notre sang ne souille pas encore le sol... Tent que nos larmes ne mouilleront pas la terre, la lumière illuminera les ténèbres... Et l'espoir écrasera la peur.

Silgalam contemplait le corps de l'éclaireur. Il entendit Eldest parler, et répondit :

C'est une belle phrase, mon ami.Il se pencha sur le cadavre.Mais ce ne seront pas les phrases qui nous sauverons.

L'elfe caressa une des plaies du bout des doigts, et y colla presque son nez pour la renifler. Il esquissa un sourire, et émit quelques éclats de rire, après quoi il demanda à Nimlofin de s'approcher, et lui aussi rit en regardant de plus près. Karagandur s'approcha et demanda :

Qu'est-ce qui se passe. Nous avons une chance de nous en sortir ?

Regarde dit le Gondolinien.Le sang est noir et graisseux, et il put. Ceci est un orc. Un éclaireur orc, qui se faisait passer pour un humain. Sans doute une tactique pour semer la peur dans nos cœurs. N'as-tu pas entendu la manière dont il parlait ? Il voulait que nous craignions pour nos vies.

Nimlofin : C'est assez ingénieux, il faut l'avouer. Et le camouflage magique était fort bien réussit. Même nous, nous nous sommes laissés prendre.

Mais cela ne signifie pas que ses informations sont fausses.

Eldest : Tu veux dire que les harradrims sont peut-être vraiment là ?

Gamoreïn : Alors les Hommes du Sud connaîtrons aussi le goût de mon marteau.

Silgalam sortit ses deux épées, et s'avança sur le mur, et posa le pied sur une pierre de taille plus haute que les autres, regardant dans le lointain. Quelques flammes brûlaient, indiquant le campement de leurs adversaires.

Karagandur : Mais nous ne leur laisserons pas la citée, n'est-ce pas ? Pas avant notre mort ?

Silgalam se tourna vers lui, et sourit. Puis, il leva au ciel ses deux épées, et chuchota pour lui :

Turgon, pour ton honneur et celui de Gondolin, je combattrais ici les ennemis des peuples libres, et ce jusqu'à ma mort. Alors que tes yeux daignent se poser sur moi, ton humble serviteur, et que le sang que je verserais fasse resplendit notre chère citée.

Nimlofin rabattit son capuchon sur son visage. Il semblait plongé dans ses pensées depuis quelques minutes mais lorsqu'il releva la tête, il prit la parole:

Oui, il semblerait que ce que disait cet Orc ne soit pas totalement faux. Cependant, je pense que cette nouvelle n'était pas destinée à des guerriers de notre envergure, mais plutôt à des paysans du Gondor qui auraient été totalement paniqués. L'Ennemi tente de créer chez nous un mouvement de panique, mais cela était assez risqué, étant donné que la majorité des combattants, ici, sont des Noldor...

Silgalam: En effet, et tout le monde sait que les Noldor ne se laissent pas aussi facilement manipuler !
Le silence se fit parmi les aventuriers, pourtant, tous se posaient la même question. Question que Eldest, n'y tenant plus, exprima à haute voix:
Euh, Nimlofin... Crois-tu donc que le Magicien de l'Isengard s'est allié aux troupes Orcs ?

L'Elfe se tourna vers le nouveau membre du groupe et le fixa de ses yeux sombres. Ils les détourna après quelques instants et les dirigea vers le col, qu'il observa avec intensité, avant de répondre:

Dans l'état actuel des choses, tout peut paraître possible. En bien comme en mal. Cependant, il faut rester prudent et garder la tête froide. Il ne me parait judicieux pour le Magicien de s'allier avec les Orcs pour l'instant, mais tout peut arriver. Nimlofin se tourna vers l'Est. Il me semble que la Soleil va bientôt se lever. C'est aujourd'hui que va se sceller le destin des peuples libres de l'Ouest de la Terre du Milieu.