La grande Bataille

Gamoreïn ressentit soudain une sensation qu'il conaisait peu : La peur... Toutes les paroles qu'employaient ses amis étaient pleine d'espoir, comme si tous voulaient ce rassurer. Et cela ne le rassurait pas. Comme l'avait dit Nimlofin, le soleil ce leva peux de temps après, ce qui découvrit les montagnes au loin. Les rayons de lumière persait fièrement les sommets, et venait toucher le sol, obligent nos héros à plisser les yeux. Soudain, un terrible bruit ebrenla le sol. Ce semblait être des pas d'origine orc, puissants et résonant dans toute la cité.

Nimlofin : Les ennemis ce lèvent tôt pour la bataille...

Gamoreïn : Ils sont surement pressé d'entendre leur crâne ce briser sous mon marteau.

Tous excisèrent un sourire entre l'amusement et la nervosité. Des soubresaux parcourait leur corps, causés par les hurlements presque imperceptible de leur ennemis. Les guerriers Noldors de Tùna s'étaient levés, reveillés par les tremblement. On pouvait entendre les pleurs des femmes et des enfants.

Eldest : Qu'ils viennent, Haradrims, orques, trolls ou je ne sais quelle horreur... Qu'ils viennent courirent à leur pertes !

Gamoreïn : J'espère qu'il y aura des Holiphants... Tous lui lançèrent des regards noirs je plaisante...

L'athmosphère semblait s'être détendue, mais pourt combien de temps ?

Silgalam était prêt. Peu importe ce qui viendrait, il était prêt à faire face, et à lutter jusqu'à la mort. De toute façon, cette mort ne pouvait plus être si effrayante pour lui. cela faisait trop longtemps qu'ils vivaient ensemble, qu'il se réveillait avec elle, mangeait avec elle, se couchait sous son regard pesant. Il savait ce qu'elle était. Mais malgré tout, lorsqu'il entendit Gamoreïn parler des Oliphants, il ne put s'empêcher de ressentir une certaine crainte. Avec la mort de ses amis, les Mumakils étaient ce qui l'effrayait le plus, davantage encore que les balrogs, comme celui qu'ils avaient rencontrée dans la Moria. Mais il n'y avait aujourd'hui pas de place pour la peur. Seul les épées parleraient, et leur langage régnerait en maître dans cette journée.

C'est alors que des formes orcs se profilèrent à leurs yeux. Ils étaient encore nombreux, et on pouvait remarquer les nombreuses formes qui se détachaient, signalant une forte présence de trolls. Grâce à ses yeux d'elfes, Silgalam put dire que c'était des trolls du Mordor, en majorité. Mais il y avait quelques trolls des forêts. Pour ceux-là, pas la peine d'espérer les avoir à distance. Seul les armes de mêlées pouvaient passer leur peau épaisse. Derrière cette armée infecte, des créatures les plus ignobles qui soient, il vit arriver les hommes du Harad. Ils étaient en ordre de guerre, très organisés, comme chaque fois qu'il les avait vus. Mais il sentit son cœur se serrer, lorsqu'il entraperçut les formes massives d'une dizaine de Mumakils. Apparemment, il n'était pas le seul à avoir constater ce danger, car Nimlofin affichait une mine sombre.

En presque une demi-heure, l'ennemi fut à environ 20 mètres des murs de la citée. Accessible à leurs arcs. Silgalam banda le sien, et lorsqu'il décocha une flèche, il fut surpris de constater qu'une centaine d'autres partaient de partout sur le mur, venant se ficher de plein fouet dans le cœur des orcs, qui s'effondrèrent, raides mrots. Les autres chargèrent, et dans le course, un quart fut balayé par les tirs continus des elfes. Le survivants dressèrent des échelles, et les défenseurs s'activaient à les renverser, tout en repoussant les assaillants ayant réussit à escalader le mur. Pour ne rien arranger, des orcs s'occupaient des protecteurs de la ville avec des arcs. Et, bien qu'ils furent moins bons tireurs que les elfes, ils faisaient des dégâts importants. Bientôt, les créatures infâmes furent nombreuses sur le mur, et on dû faire sortir les cavaliers du Gondor et de Tùna afin de retenir l'ennemi aux pieds du mur. Et déjà, des Haradrims montraient le bout de leur nez. Ils n'étaient encore que peu nombreux, mais le reste de l'armée arrivait derrière. La situation était plutôt désagréable pour les héros.

toccan : à la vie à la mort mes amis

silgalam : à la vie oui mais cela va etre un peu plus dur que d'habitude .

toccan : oui c'est vrai mais il ne faut pas perdre espoire . en attendant mois je vai dessandre je serais plus utile au corp a corp avec mes grifes

nimlofine : oui tu à raison mais fait attention quand même il sont très nombreux

toccan : c'est pour sa que je conte sur vous pour me couvrire .

sur ses mots toccan se transformit en beornide il terrassa deux orcs qui montaient sur les murs et il dessendi plus bas pour se batre feérocement et aidez ses amis les cavaliers.

[Edit de Silgalam: Toccan, ce ne sont pas les cavaliers du Rohan.]

Gamoreïn suivit Toccan : Lui aussi était meilleur pour les attaques frontales que pour les tirs à distance. A l'aide de son marteau, il utilisa son habituelle technique : Le brise-crâne du nain. Il s'y était vite habitué, surtout depuis sa rencontre avec Nimlofin. Soudain, il entendit un grondement. Il leva les yeux au ciel. Un Holihant était à deux doigt de l'ecraser sous sa lourde patte, mais le nain esquiva cette insulte sans aucune diffculter. Il pris de l'élan, et se jetta sur le titan, marteau pointé au ciel en hurlent. Il fit lourdement tomber son arme sur le tibiat de la bête, ce qui lui brisa la jambe. Il poussa un hurlement de douleur avant de s'éfondrer sur le sol en un terrible tremblement de terre. Il était encore en vie, alors il s'approcha de sa gueule et lui adressa un puissant coup de hache dans la tempe. Un soubresaux parcouru le corps de l'animal, avant que celui-si ne s'éteigne à jamais.

Gamoreïn : Je ne laisserai pas l'ennemi me pietiner avec ses sales pattes !

Eldest (qui se trouvait pres de lui et qui avait regarder la scène d'un air satisfait) : Tu es resté le même, mon jeune ami...

Ils ce lancèrent tous deux d'assaut dans la bataille, esperant prendre encore la vie d'une des bêtes du Harad, ce pays maudit ou seul le mal et le desespoir reignait...

[Hors-RP : Désolé pour ce court post, mais je doit partir ]

Toccan combattait très férocement comme les Béornides savent le faire. Son plus grand frère Beorn était très réputé pour sa taille et sa puissance dans les combats.

Les orcs ne semblaient pas pouvoir s'approcher de Toccan. Il avait une telle haine envers ces orcs qui avaient trouvé la cité cachée qu'il voulait tous les détruire au péril de sa vie.

[Edit de Nimlofin: Essaie de faire moins de fautes, Toccan. Là je les ai corrigé...]

Nimlofin regarda avec plaisir ses amis tuer un Olifant qui, ayant échappé au contrôle de son cornac, s'était frayé un chemin jusqu'aux murailles de la ville. Tout en continuant à tirer flèche par flèche, il ne put s'empécher de penser que Gamoreïn, Eldest et Toccan avaient eut de la chance de tomber sur un jeune Olifant, pas aussi dangeureux qu'un adulte. Avec un léger frisson, l'Elfe songea aux efforts qu'il leur faudra déployer pour abattre un adulte dans la force de l'âge, en évitant les archers qui se tenaient sur la tourelle juchée sur le dos de l'animal. Nimlofin s'écria alors:

Lancez la cavalerie ! Mais dès qu'ils atteindront les derniers rangs des Orcs, qu'ils reviennent en vitesse !

Il en fut ainsi. Aussitôt que l'ordre fut donné, les cavaliers se scindèrent en deux groupes. Le premier passa par une porte à gauche tandis que l'autre passait par une porte à droite. Ils opérent une jonction, tandis que les archers stoppaient leurs tirs, de peur de toucher les alliés.
Les redoutables cavaliers elfiques et gondoriens percutèrent avec violence les premier rangs des Orcs et continuairent leur course effrénée. Un fois arrivé aux derniers, comme Nimlofin, l'avait préscrit, ils revinrent en vitesse sans trop de gène, vers la cité. Pendant ce temps, les Mumakils chargèrent.

Tout marche pour le mieux...

En effet, comme l'avait prévu le Noldo, les Mumakils, stimulés par les combats et la perspective de tuer, échappèrent au contrôle de leur cornac. ils ravagèrent donc leurs propres rangs, tandis que dans la cité, les archers se remettaient à tirer leurs traits en poussant des cris de joie.

Halbarad: Je pense enfin que nous avons une chance de nous en tirer !

Gamoreïn regardait ce dérouler ce pitoyable spectacle avec un voile de satisfaction au visage. Une nuée de flèche tomba sur l'un des Oliphant, ce qui lui fit pousser un cri de souffrance et ce qui lui fit redoubler ses écrasements. Il falait plus qu'une vague de flèche pour tuer un véritable Mumakil. Ces créatures étaient coriaces et plus que dévastatrices. Alors Nimlofin leva son sabre au ciel, ce qui refleta dans sa lame un rayon de clarté qui avait réussit à perçait les très hauts monts. Il r'abaissa son arme, et hurla de toute la puissance de ses poumons :

Nimlofin : SUS AUX MUMAKILS !!! SUS A L'ENNEMI !!! SUS A MORGOTH !!!

A ces mots, tous se ruèrent à l'assaut des créatures à présent sans maitre. Ils ressentaient pour leurs ennemis à présent une haine incontestable. Ils étaient puissants et la rage leur étaient monté à la tête... Tous se mirent à taillider une par une les pattes des immondes créatures. Les trolls, bien que dévastateurs, commençait à ressentir un soupçon de peur en aperçevant l'armée d'elfe qui se ruaient à leur trousse. Beaucoup mouraient écrasés, mais l'avantage semblait tourner en la faveur de nos ennemis...

Silgalam se battait au sol. Il avait quitté son arc pour un combat plus excitant. Il était en duel contre un troll qui tentait tant bien que mal de continuer sa course malgré les multiples flèches plantées dans son torse. Ainsi, l'elfe arriva, et lui lança un couteau entre les deux yeux, ce qui le tua net. Continuant dans sa lancée, il fonça face à un homme du Harad et avec un couteau, lui trancha la carotide, et transperça le cœur d'un autre en lançant ce même couteau. La situation semblait plutôt positive. Les ennemis étaient en déroute, maintenant que les oliphants étaient hors de contrôle. Les harradrims semblaient dépassés par la situation, les quelques orcs survivants commençaient à fuir, et les trolls essayaient comme ils pouvaient de percer le flot elfique qui accourait sur leurs rangs. Bien que les créatures fussent puissantes, elles ne pouvaient plus tenir contre cet ennemi supérieur en nombre. Le dernier problème, c'était les mumakils : ils étaient certes redevenus sauvages, mais ils n'en étaient pas moins dévastateurs. Ils avaient d'ailleurs coupés la retraite aux orcs et avaient décimés les restes de l'armée du mage noir d'Isengard. Silgalam décida qu'il était temps d'en finir, et appela à lui Karagandur et Nimlofin, pour l'aider à combattre les titans enragés. Ils se séparèrent, afin d'augmenter leur efficacité. L'elfe courut sur l'un d'entre eux, et s'accrocha aux restes de la cabine des archers qui pendait de son dos. Il parvint ainsi à escalader la bête, et se retrouva sur une grande marque, signalant la colonne vertébrale. De là, il voyait l'état du champ de bataille entier. Les trolls luttaient farouchement contre des elfes et des hommes enragés qui prenaient déjà le dessus de manière flagrante, et les harradrims se tenaient derrière, tentant de profiter le plus longtemps possible de cette couverture protectrice, tirant des flèches sans pause, et repoussant tous ceux qui passaient le mur de chair noire. Les orcs, décimés, erraient çà et là en petits groupes bravaches qui essayaient tant bien que mal de quitter le combat en restant inaperçus. Les Oliphants, quant à eux, couraient sans trop savoir où, tuant tout ce qui passait à leur portée et tentant de résister aux assauts qu'ils subissaient.

Silgalam, que la crainte envahissait, prit son courage à deux mains et avança lentement sur le dos de la créature détestée. Il avait du mal à mettre sa phobie de côté, mais réussit néanmoins à atteindre la tête. De là, il trouva le crochet du cornac et l'accrocha solidement à un lourd morceau de métal de la nacelle. Il parvint aux prix de grands efforts à la précipiter dans le vide, et le crochet accrocha l'oreille du la masse vivante qui, sous la douleur tourna dans la même direction, percutant ainsi un second mumakil dans les côtes duquel il enfonça profondément une de ses défenses. L'être mort s'effondra sur son assassin et l'écrasa sous son poids. Silgalam eut juste le temps de bondir dans le vide lorsqu'il n'était plus qu'à 5 mètre du sol lorsque les deux créatures s'écrasèrent juste derrière lui. Il porta un regard sur le combat, pour voir comment se débrouillaient ses amis.

Gamoreïn avait continué ses massacres, mais avait regardé d'un oeuil avide l'explois de son compagnon de route. Les mumakils étaient de puissante créatures dont seul la stratégie pouvait en venir à bout... Un Haradrims lui fonça dessus, mais le jeune guerrier lui pourfenda l'estomac. Une jiclée de sang asperga le visage du jeune nain, qui s'essuia aussitôt d'un revers de manche. Il trouvait cette bataille difficile mais palpitante. Il vait une totale confiance en lui, ce qui décuplait ses forces. Il se tourna vers Halebard : Il paraissait alèse et aucune expression ne couvrait son visage. Quand à Eldest, lui, il combattait courageusement mais semblait quelque peu embarassé par un régiment d'orcs. Gamoreïn fut surpris à leur vue, car il croyait les avoir tous exterminés. Il coura donc à la rescousse de son ami. En quelques coups de marteau, tous furent à terre. Eldest les acheva avec avidité et se lança parmi les hommes du Harad. Nimfolin s'approcha de Gamoreïn et lui dit :

Nimlofin : Nous devons redoubler nos efforts et ne pas prendre l'ennemi à la légère. Bien que nous soyons en tête de la bataille, il nous reste encore beaucoup d'ennemis à mettre hors d'usage.

Gamoreïn : Ne vous inquietez pas, mon marteau et ma hache son la pour témoigner de mas cinserité.

Nimlofin : Et bien, qu'elle continues à bien s'appliquer : Nous en aurons besoin.

Le nain hocha la tête de bas en haut en guise d'affirmation. Il se replia pour aller boire : Une terrible soif lui dévorait l'esprit. Quand il revint, la masse d'ennemi semblait avoir considérablement diminuée : Ses amis étaint très efficacent. Il se relança au combat en brisant des côtes et des crânes au passages. Un mumakil s'approchait de lui, alors, le jeune nain s'écarta de peur de se faire piétiner. Et de toute la puissance de sa hache, il taillada l'enorme jambe du monstre. Mais celui-si sembalit ne pas avoir remarqué, et continua sa marche vers la cité.

Gamoreïn : Parole de Balin, tu vas souffrir, créature de l'enfer !

Il se jetta sur sa victime et la taillada à répétition. Cette fois si, elle poussa u léger grognement. Le nain, agacé, s'accrocha à sa lagnère, et lui trancha la queue. Le monstre poussa un hurlement de douleur, et bouga de toute la rapidité de ses jambes, faisant tomber un par un ses monteurs. Il continua de la faire souffrire en lui brisant un morceau de la colone vertebrale à l'aide de son marteau. Il s'approcha de la tête, et planta sa petite dague à présent unique (voir Fantgorn pour découvrir comment il a predu la deuxième) entre ses deux grands yeux noirs, immitant la technique de Silgalam. Mais cela ne suffit pas encore à l'abbatre : Cette fois, il repeta son coup à différent endroit. La bête, à présent hors d'usage, s'étalla au sol, inerte. Gamoreïn avait peine à tenir sur son épais crâne.

Gamoreïn : Ce ne fut pas simple, par ma barbe, mais j'ai réussi !

Eldest s'approcha du nain et le félicita, avant de repartir combattre l'ennemi. Gamoreïn était fier de sa victoire et, lui aussi, se remit au travail. Une hache et un marteau, rien de plus preformant pour un nain des montagnes...

Mais il ne restait plus grand chose à combattre, hormis quelques bandes éparpillées de Haradrims farouches qui se défendirent avec l'énergie du désespoir et acharnement. Les Orcs, quant à eux, avaient été massacrés en grand nombre et s'étaient repliés vers le col avec les troupes du Mordor qui avaient survécu à la colère des Noldors et des Hommes du Gondor. Nimlofin les regarda s'éloigner avec un rictus, car ils étaient loin d'être prêt à resister à l'embuscade que leur réservait Halbarad et ses rôdeurs qui s'étaient furtivement dirigés vers la forêt lorsque le cours de la bataille avait basculé en la faveur des Elfes.

Aucun ne revint jamais au Mordor, la terre maudite et ce royaume fut cruellement amoindrit par la grande perte de son armée. Déjà, les Hommes faisaient leurs préparatifs en prévision du retour sur la terre de leurs ancêtres, le puissant Gondor. Et Eldarion, leur Roi, savait parfaitement qu'il leur faudrait beaucoup d'énergie pour reconstruire ce qui avait été détruit...

Tout allait donc pour le mieux, pourtant Nimlofin, avec la préscience de sa race, eut le sentiment que le Mal, loin d'avoir disparut, venait de renaître. Cependant, une lueur d'espoir naquit en lui, il ne sut dire pourquoi, et peut-être était-ce à cause de la joie qui régnait à présent dans la cité.

Silgalam, après avoir abattu deux oliphants, l'action qui le marqua le plus dans sa journée, avait pu constater qu'il lui avait fallu énormément de temps pour cela, et lorsqu'il revint au sol, le combat avait pris fin, mis à part quelques groupes de guerriers tenaces qui essayaient tant bien que mal (mais quand même plus mal que bien) de résister aux vainqueurs qui parcouraient le champ de bataille afin d'éliminer ces derniers rescapés. L'elfe était couvert de sang, et de multiples blessures, mais il était heureux. Grâce à cette victoire, les Gondoriens pourraient réussir à jeter le Mordor en dehors des murs de Minas Tirith et reprendre possession de leur cité. Mais pourtant, quelque chose le rendait sombre. Il ne savait pourquoi, mais le fait qu'Arkenstone les ait trahis signifiait pour lui qu'un évènement important allait se passer. Sinon, il aurait continué à profiter de leur hospitalité. Mais pour le moment, il voulait se reposer, et voir la tête du demi-orc au bout d'une lance, accessoirement.

Le lendemain, il se leva très tôt. Une atmosphère étrange flottait sur la ville, pour un lieu où dormaient les vainqueurs. Tout semblait tendu. Il sortit dehors, et arriva sur une sorte de balcon qui dominait une grande partie de la ville. De là, il pouvait voir toutes les montagnes environnantes, bleutées à cause de l'heure matinale, et il lui semblait presque pouvoir entrapercevoir la mer. Finalement, il marcha quelques minutes, lorsqu'un elfe vint le trouver, lui disant que ses compagnons le cherchaient. Il les rejoint, et les trouva en train de discuter à voix basse. A son arrivée, ils se retournèrent vers lui, et Gamoreïn prit la parole :

Ah, te voilà. Nous te cherchions. Il faut décider de ce que nous allons faire maintenant. Où-est-ce qu'on aura besoin de nous.

Silgalam : Et bien, personnellement, j'aimerais aller vers la forêt noire. J'ai des raisons de penser qu'il s'y passera quelque chose. Mais ce n'est que mon avis, cela dépend de vous, après. Mais j'ai une folle envie d'aller y faire un tour.

Halbarad: Quant à moi, j'aimerais tellement retrouver les terres du Nord d'où je viens. Voilà des mois maintenant que je n'ai pas revu l'Arnor.

[HorsRP: Désolé pour ce message très court, mais vu que je ne connais pas les intentions de tout le monde, je préfère seulement donner mon avis. Il me semble que cela serait judicieux d'aller dans le Nord, car ainsi, on pourra aller au Beleriand qui est juste à côté.]

[H-Rp : peut-être vaut-il mieux en effet donner les raisons de notre avis : c'est à Dol Guldur dans qu'Arkenstone m'a trahis, et je penses qu'il doit y avoir des choses quant à la secte pour cette raison, et je veux trouver Arkenstone pour le tuer, parce qu'il m'a bien embêté ^^]

[HorsRP: C'est comme vous voulez. Moi, ça me tente d'aller au Beleriand, mais on peut d'abord faire un incursion à Dol Guldur (tout en sachant que Arkenstone ne sera pas là). Cela serait pas mal !]

[HorsRP: Ok, va pour Dol Guldur !]

[HorsRP: Bon, alors si tout le monde est d'accord, nous allons faire un incursion à Dol Guldur puis nous irons au Beleriand...]

Finalement le groupe se décida pour rejoindre Dol Guldur, où devait se trouver Arkenstone, le traître qui les avait trompé des mois durant, le général de Sauron, serviteur du Seigneur des Ténèbres, un des ennemis les plus dangereux qu'ils aient jamais eus. En effet, la secte pouvait y avoir un repère, car leur but étant de ramener les maïars dans les Terres du Milieu, ils avaient dus s'allier avec le semi-orc. Puis, après avoir mené une enquête là-bas, ils retourneraient vers le Béleriand, selon le souhait émis pas Nimlofin. Silgalam sortit une carte, et l'étala devant ses compagnons. Il sortit trois couteaux, qu'il planta dans les deux lieux où ils prévoyaient d'aller et celui où ils se trouvaient, et traça du doigt une route sur le papier, tout en parlant :

Voilà la route que je vous propose : Personnellement, je serais pour éviter de trop s'approcher de l'Isengard, bien que nous soyons forcés pour faire au plus court d'y passer durant quelques jours. Donc, il faudrait franchir les montagnes afin de rejoindre le territoire du mage noir, et de couper au plus vite vers le Rohan, le plus rapide étant de franchir les montagnes près du Gouffre de Helm. La traversée de ce territoire ne sera sans doute pas un problème, car c'est un royaume allié, puis nous traverserons le Rohaviion jusqu'au territoire de Dol Guldur. Une fois nos affaires ici terminées, nous pourrons rejoindre la Lórien puis, de là, franchir le col de Caradhras pour rallier Fondcombe, puis traverser les territoires qui nous séparent de notre but, ce qui ne sera pas véritablement un soucis d'organisation. Voilà mon projet, qu'en dites-vous ?

Gamoreïn : Je suis pour !

Halabard : Moi de même, sa me va.

Silgalam aquisita et ranga sa carte dans son sac.

Silgalam : Nous n'avons pas de temps à perdre, mes amis. Nous devons nous âter. Ce n'est pas tout d'avoir réussi a vaincre l'ennemi.

Gamoreïn avait été profondément choqué par le changement de côté de Arkanstone, qui avait été jusqu'a la son meilleur compagnon. Il éprouvait à son égard une amitié irréprochable. Mais il avait monté la tête de tous, et cela était une erreur impardonable. Tous devait se venger de cette offance, car tous étaient affligés. Le nain plia ses affaires. Il était presque pres pour le grand voyage qu'ils les attendaient lui et ses compagnons. Une fois qu'il eu rassemblé toutes ses affaires, il attendit Eldest devant la porte de sa chambre. Quand celui si en sortit, il lui mit la main à l'épaule et lui dit :

Eldest : Je vais vous accompagner, toi et tes compagnons.

Gamoreïn : C'est une bonne idée, que tu as la. Nous nous retrouvons enfin, des années après. N'est-ce pas magnifique ?

Eldest lui adressa un sourire, mais il avait un air terriblement grave.

[HJ:Bon je vais tenter un squat...^^ Dîtes moi si ça va pas...]

Aragorn avait entendu la conversation des elfes plus bas. En réalité, il avait combattu à leurs côtés, tout en étant resté discret. Même si il n'était pas aussi présent qu'avant dans les combats, il s'arrangeait pour toujours être là lors d'une bataille qui pourrait changer le cours du déroulement des choses. Il était exténué aussi il se coucha rapidement ce soir là et dormit jusqu'au matin.

Le lendemain, il se leva et son corps s'étira douloureusement, souvenir du combat de la veille. Il partit pour se passer un peu d'eau sur le visage et le débarrasser du sang. Il ne se prépara pas davantage sachant que les chefs d'ici avaient certainement prévus un voyage pour continuer la percée sur les territoires ennemis. Cependant, étant discret, il n'en avait pas entendu parler. Il sortit et vit deux personnes discuter. L'une disais être pour... A présent, la décision devait déjà être prise, et Aragorn devait faire vite pour intégrer l'équipe de voyage. Il s'approcha d'eux, et leur dit à voix haute:

Aragorn: Et je veux faire partie du voyage.

Silgalam se retourna. Il fixa le voyageur qui avait soudainement fait surface.

Silgalam : Qui es tu et d'ou viens tu ?

Aragorn : Je me nome Aragorn. J'ai participé à cette bataille et je me suis battu à vos côté. J'espère pouvoir me faire une place dans votre groupe... J'ai un niveau de combat elevé, et mes capacité de rôdeur ne son pas à négliger.

Gamoreïn : Un compagnon de plus ne sera pas de refus. Nous avons beaucoup de choses à regler. Moi, je suis pour qu'il s'integre à notre équipe. Et vous, mes compagnons ?

Halbard : Je suis pour moi aussi. Nous devons être plusieurs pour combattre les forces du traître Arakanstone.

Il lui racontèrent les traîtrise du demi-orc, son retour à Dol-Guldur, et toutes ses mésaventures. Aragorn les écoutaient, l'air grave. Il était pourtant heureux et satisfait d'avoir peut être trouvé sa voie.


[Hors-RP : Bienvenu à toi, Aragorn !]

Nimlofin: En route donc, ne perdons pas de temps !

Suite de l'aventure ici