Une pause avant le danger

Les Aigles sont des êtres rapides, c'est pourquoi, les aventuriers arrivèrent bientôt à Caras Galadhron, capitale de ce petit, mais puissant, royaume elfique.

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A peine furent ils arrivés qu'une masse de guerriers foncèrent droit sur eux : ils semblaient furieux. Gamoreïn tira sa hache et son marteau, mais Silgalam lui fit un geste qui lui fit comprendre qu'il ne valait mieux pas cherche d'ennui. Celui renga donc ses armes. Trois elfes aux allures superieures armèrent leurs arcs, paré à tiré. Mais aucun des aventuriers ne bouga. Ceul Nimlofin s'avança de quelques pas. On pouvait entendre les archer tirer sur leurs cordes, comme si il prévoyait que l'un d'eux ne les blessent. Nimlifin leva la main en signe de paix. Aussitôt, tous bessèrent leur arme. Le capitaine, qui avait à son tour avancé de quelques pas, les interpela :

Le capitaine : Qui êtes vous et d'ou venez vous ? Déclinez votre identité et partez.

Nimlofin : (un peu choqué par cette accueil) Nous ne nous voulons pas de mal, nous avons été escorté ici le seigneur Gwaihr, qui est parti après nous avoir indiqué le chemin... Il avait l'air pressé...

Le capitaine : Ha. Excusez notre acceuil, nous sommes de plus en plus traqué par des orcs, pour des règlement de compte... Nous devenons méfiant, à force...

Nimlofin : Laissez-moi vous expliquer la raison de notre venue...

Le capitaine : Allez plutôt vous reposer, vous devez être fatigué du voyage que vous avez fait...

Les aventuriers acceptèrent cette hospitalité sans ce faire prier : Il est vrai qu'il n'avait pas dormis depuis leur dernier repos à Erebor, ou il avait rencontré Gamoreïn.

Chacun pris donc une chambre à l'auberge, mais, à 4 heures du matin, on vint les réveiller : Une horde de plus de 100 orcs avait pénétré dans la forêt. Prêt en moins de 1 minute, les aventuriers sortirent de l'auberge armes dans les mains, prêt à maitre en pièce n'importe quel ennemi et se dirigèrent vers le lieu où les créatures avaient planté leurs camps... Une masse d'orcs s'y trouvait déjà aux prises avec une troupe d'Elfes. Alors Gamoreïn s'élança et un des orcs s'écria :

L'orc : Gamoreïn ?! Mais qu'est ce que tu fais la ?

Le nain s'approcha de son interlocuteur, et lui enfonça sa hache dans l'épaule : son ennemi hurla de douleur. Une giclé d'hémoglobine avait aspergé le visage du nain.

Gamoreïn : Tu peux considérer sa comme une démission...

Nimlofin tendit son arc et commença à viser les Orcs, tandis qu'Arkenstone et Toccan chargeaient armés de lourdes haches et poussant d'effroyables cris de guerre. L'Elfe vit aussi du coin de l'oeil Silgalam sauter souplement dans un arbre et tuer des Orcs avec ses couteaux. Lorsqu'il eut vidé son carquois, il dégaina son épée, la flamboyante Narmegil. Ses coups étaient précis et mortels et les ennemis fuyait devant lui car sur son visage se lisait la colère d'un Seigneur Elfique.

Nimlofin: Elfes ! Chargez avec moi au nom de la Lorien !

Silgalam s'était installé dans un arbre pour lancer ses couteaux sur les orcs. Il appréciait énormément cette technique, comme il sied à tout bon voleur. Mais lorsqu'il entendit Nimlofin, lancer un appel à la charge, l'elfe dégaina ses deux lames et bondit au sol :

Ces bêtes puantes veulent s'en prendre à la Lorien. Nous devons les exterminer.

Puis, il s'élança. Il commença à découper deux orcs qu'il venait de croiser. Derrière eux se trouvait un troisième, et le voleur engagea le duel contre lui. Cette créature devait être un gradé, car il arrivait à se défendre relativement bien, et résista à nombres de ses coups. Soudain, alors que Silgalam continuait à se battre en duel, un coup d'épée vint le frapper par-derrière entre les homoplates. Il ressentit une vive douleur, et, prit de rage, donna un coup d'épée en faisant une rotation qui trancha la tête de l'orc derrière-lui d'un coup immédiat et net. Puis, en continuant sur sa lancée, il enfonça ses deux épées dans l'estomac. Elles le traversèrent, puis, l'elfe les retira immédiatement, et une gerbe de sang noir et épais jaillit de la blessure en une gerbe qui tâcha les vêtements du voleur de points sombres. Il tenta de continuer, mais sa blessure le faisait souffrir. Il parvint cependant à tuer deux autres orcs, avant de tombé évanouïe au milieu du champ de bataille, des suite de sa blessure.

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Gamoreïn ce lança dans la bataille, son marteau et sa hache levés au dessus de sa tête. Il pourfenda le coeur du premier orc qui se trouvait sur son chemin, et, d'un violent coup de marteau, explosa la machoir inferieur d'un autre ennemi. Ses yeux était devenu noir, et ses coups était si violant qu'il ressembalit presque à un ennemi. Il lança sa hache, celle si revint dans ses mains en boumrang en prenant soins de trancher la gorge d'un dixaine d'orcs.
C'était un véritable carnage : le combat venait a peine de commencer il y avait quelques minutes, que déja il ne restait qu'une soixantaine d'ennemis. Arkanstone mit un ennemi à terre, et lui mit un chassé dans le crane : les crampon de métal accroché à sa botte de fer lui exlosèrent la tempe. Des effusions de sang giclai de toute part. Nimlofin tira trois flèche qui vinrent ce plantées dans trois orcs. Puis Silgalam, armé de ses deux sabres, utilisait ses armes comme ciseaux pour trancher le plus de tête possible.

Nimlofin : Ils sont peu resistant : Pas besoin de trop s'ennerver...

Mais cela ne calma pas pour autend Gamoreïn, qui frappait une fois de plus un ennemi de son marteau. Silgalam perdait des forces, blesser par le coup lâche d'un orc. Arkanstone avait été violament frappé par une masse d'arme, et le jeune nain était blessé à de nombreux endroits. Ils fallait absolument qu'ils se reprènnent... Il ne restait plus qu'une vingtaine d'orcs. Les elfes qui combattaient au côté de Nimlofin était encore assez nombreux pour se battre. Une deuxième pluie de flèche vint exterminer l'avant dernière rangée d'orcs. Alors, Nimlofin fondit sur ce qu'il restait de l'armée adverse, et en quelques secondes, il ne rèsta plus qu'un seul orc. Gamoreïn se charga de l'égorgé, puis, calmé, il repris sa forme initiale...

Le combat finit, Nimlofin courut vers Silgalam qui gisait, blessé, au sol. Il le porta et l'emmena vers la cité pour qu'il y reçoivent des soins. Pendant ce temps, Gamoreïn aidait à l'enterrement des morts Elfes et à la l'incinération des cadavres orcs. Arkenstone était assis dans un coin, encore assommé par le coup qu'il avait reçu mais qui avait été dévié par son casque. Puis Nimlofin revint vers le lieu de la bataille. Gamoreïn vint à sa rencontre.

Gamoreïn: Alors, comment va Silgalam ?

Nimlofin: Pas très bien, mais il s'en remettra je pense, car c'est un grand Elfe et il a un pouvoir de régénération important. Les Elfes-soignants s'occupent de lui pour l'instant. Au fait, tu t'es bien battu. Tu es vraiment un puissant guerrier et je suis content de t'avoir à mes côtés...

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Gamoreïn excisa un sourire, et remerçia Nimlofin pour son compliment. Mais il était terriblement accablé par ses blessures, tout comme ses compagnons l'étaient. Il considèrait Silgalam à présent comme un noble guerrier qui n'a pas peur de mettre sa vie au trépas pour préservé sa race le plus longtemps possible... De plus, pas une fois dans le combat celui-ci avait hurler de douleur... Vraiment, il trouvait admirable de tel guerriers. Il retourna ce coucher, bien qu'il ne li restait plus beaucoup de temps pour dormir. Il fut réveiller quelques heures plus tard par Nimlofin qui lui chuchota :

Nimlofin : Habille-toi vite, et suis moi.

Le nain s'executa. Que lui reservait sa journée, cette fois si ?

Nimlofin était parti réveiller Gamoreïn et Toccan qui étaient les seuls en état de se lever. Silgalam, lui, était encore inconscient ainsi qu'Arkenstone.

Nimlofin: Nous devons y aller, nous n'avons que trop tardé ! Des messagers du Norlos m'ont averti que les Orcs ont pris les derniers bastions de résistant du Gondor et sont déjà aux pieds des Montagnes Blanches où se trouvent Tùna, la place forte du royaume elfique où s'est réfugié le peuple du Gondor.

Gamoreïn: Mais... Et Silgalam? Nous n'allons pas le laisser seul ici !

Toccan: Et Arkenstone n'est pas en état de faire un aussi long voyage...

Nimlofin: Je sais tout cela, j'y ai réfléchi et à vrai dire, cela me fend le cœur de laisser sur place d'aussi bons guerriers mais nous n'avons pas le choix, le Norlos nous attend. J'en ai parlé avec le Seigneur des lieux et il m'a promit qu'il enverrait des combattants, mais pas avant demain. N'ayez pas peur pour Silgalam et Arkenstone, ils sont en sécurité ici. Allez préparer vos affaires...

Toccan: Par où passerons-nous ?

Nimlofin: Nous allons passer par la forêt de Fangorn, puis par la trouée du Rohan, nous traverserons le pays de Dun et enfin, nous gravirons les Montagnes Blanches pour rejoindre la cité de Norlos.

Et c'est ainsi qu'après avoir fait leurs affaires, les compagnons se mirent en route.

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Apres plusieurs longues heures de marche, ils atteignirent enfin, a dos de chevaux généreusement preté par les elfes, la foret de Fangorn. A travers les arbres, on ne voyait que de sombre silouhette (peut-etre était-ce des Ents...) mais cela ne disait rien de bon à Gamoreïn. Il se lancèrent tous ensemble dans la sombre forêt. De faible croasement retentissait. On n'y voyait rien à 10 mètres. Alors Nimlofin ramassa un morceau de bois, et racla la paroie d'un arbre sec, ce qui le fit s'enflamer. Soudain, Toccan s'arrêta. Il s'agenouilla, ramassa un brin d'herbe, et s'écria :

Toccan : Du sang... ce ne son pas des orcs...

Nimlofin : Il serait préferable que nous nous dépechions pour ne pas rester trop longtemps dans les alentours...

Soudain, un puissant hurlement retantit : c'était un cri de Ent. Gamoreïn fit signe à ses compagnons de passer par un petit sentier. Ils coururent à travers la forêt, creignant de tomber sur une mauvaise rencontre : mais c'éait déjà fait : une orde de Ent les poursuivaient.

Nimlofin : Nous ne faisons pas le poids ! Fuions de toute la puissance de nos jambes !

Mais Gamoreïn et Toccan avait été afaiblient par le combat face au orcs, et leurs pas était moins rapide que ceux de Nimlofin. Les Ents n'étaient plus qu'a quelques pas de leur objecif : Gamoreïn cesit sa hache, et la lança en boumerang dans les jambes d'un Ent : Celui si tomba sur celui qui était derière lui, et lui aussi tomba sur celui qui le suivait... Et ainsi de suite : mais un seul avait réussi a ne pas tomber : il continua sa course. Toccan saisi une dague de Gamoreïn, et la lança dans l'oeuil du géant : Celu-ci poussa un hurlement, et s'en alla, furieux. Les compagnons s'arretèrent pour souffler.

Nimlofin : Bien joué.

Gamoreïn : Ma dague...

Toccan : C'était sa ou notre vie. De toute façon, il t'en reste une...

Gamoreïn ne semblait point satisfait, mais il ne le fit pas sentir. Les compagnons reprirent leur route jusqu'a leur prochain itinéraire : la trouée du Rohan...

Suite ici

Silgalam venait de s'éveiller dans la nuit. Il faisait sombre, et seul une lampe à huile lui permettait de voir un peu son environnement. Il était presque nu dans un lit, avec des bandages sur la poitrine qui l'encerclaient complètement. Il était seul dans une chambre simple, aux murs de bois nu, avec simplement une table sur laquelle se trouvaient la totalité de ses effets. Mais quelque chose y manquait. Il porta instinctivement la main à son torse, et sentit dans sa paume le contact froid avec un métal. Il poussa un soupir de soulagement. Son précieux pendentif était toujours là. Puis, il regarda la fenêtre dont les rideaux étaient tirés, se leva et alla les ouvrir. Une lumière aveuglante l'éblouïe, et il dut attendre quelques secondes avant que ses yeux ne s'habituent à cette nouvelle luminosité. Il faisait grand jour, dehors. Les oiseaux chantaient, une rivière coulait sous sa fenêtre, et le vent faisait bruire les feuilles des arbres. Il respira profondément, et une vive douleur le prit à la poitrine. Il fut plié en deux sous le coup, et un elfe entra dans sa chambre. Lorsqu'il le vit, il accourut en disant :

Seigneur ! Non, vous n'avez pas encore la force de vous lever !

Silgalam : Où suis-je ?

En Lórien, sir. Vous êtes en convalescence. Vous ne pourrez pas vous déplacer avant demain. Et estimez-vous heureux que nos médecins aient pus vous sauver, car vous étiez aux portes de la mort. Quelques instants de plus et la flamme de la vie s'éteignait. Trois jours ont étés nécessaires pour vous ramener parmis nous.

Et où sont les personnes qui étaient avec moi ?

Le demi-orc se repose. Il a subit des blessures qui l'ont épuisées, et il devrait être en état aujourd'hui. Quant aux autres, ils sont partis la nuit qui suivit le combat. Ils ont pris la direction de Fangorn, pour rejoindre Tùna.

Silgalam bondit hors du lit :

Ils sont partis !! Je dois les rejoindre. Aidez-moi à m'habiller ! Il n'y a pas de temps à perdre. Ils ont trois jours d'avance.

Non, sir. Couchez-vous. Vous n'êtes pas en état de courir le monde.

A ce moment, Silgalam se penchait pour prendre ses chaussures, mais la douleur le reprit, et il s'effondra à nouveau au sol, sans force. L'elfe le replaça dans son lit, et il s'endormit rapidement, épuisé.

Lorsqu'il se réveilla, il était toujours dans cette chambre, mais une personne se trouvait à son chevet. Sa vue s'améliorant petit à petit, il finit par reconnaître Arkenstone. Les rideaux étaient ouverts, et il vit que c'était l'Auror. Le demi-orc se leva et lui dit :

Alors, bien dormit ? Tu te sens capable de te lever ?

Silgalam sortit de son lit, et commença à marcher pour prendre ses affaires et s'habiller.

A la bonne heure. Dans ce cas, nous allons partir sans perdre de temps. Les autres ont déjà de l'avance, et nous devons les rejoindre. J'ai regardé une carte : Si nous passons par...

Non. J'ai réfléchit. Si nousleur courons après, nous perdrons du temps qui pourrait servir à autre chose. Je penses qu'au contraire, il nous faudrait partir dans une autre direction. Le danger actuel n'est pas ce qui manque, et la secte risque de revenir d'un instant à l'autre, et les personnes à avertir sont légions. Mais nous devons d'abord recueillir des informations. Voilà ce que je te propose : nous partirons dans la direction opposée, et nous recueillerons des informations sur les plans de l'organisation.